1. Institutions partenaires

Université Grenoble Alpes

Depuis le 1er janvier 2020, l’ensemble des forces de l’enseignement supérieur public du site Grenoble Alpes sont regroupées au sein d’un seul et unique établissement public expérimental nommé « Université Grenoble Alpes ». Ancrée sur son territoire, pluridisciplinaire et ouverte à l’international, la nouvelle université réunit les grandes écoles Grenoble INP, Sciences Po Grenoble et l’École nationale d’architecture de Grenoble, les composantes de l’ancienne Université Grenoble Alpes et la Communauté Université Grenoble Alpes. Son offre de formation couvre l’ensemble des champs disciplinaires : Arts, lettres, langues ; Droit, économie, gestion ; Sciences humaines et sociales ; Sciences, technologies, santé. Les organismes nationaux de recherche CEA, CNRS, Inria et Inserm y sont étroitement associés pour développer une politique commune en recherche et valorisation à l’échelle internationale. Les relations avec l’Inrae, l’IRD et le CHU Grenoble Alpes sont également renforcées. L’intégration de l’enseignement supérieur et de la recherche s’appuie sur le prestigieux label IDEX « Université Grenoble Alpes : université de l’innovation ».

 

2. Institutions de référence des auteurs

Agroécologie Dijon

logo agroecologie dijonL’UMR d’Agroécologie de Dijon associe des chercheurs et enseignants chercheurs de l’INRA, de l’Université de Bourgogne et d’AgroSup Dijon. Cette UMR est issue de la fusion de plusieurs unités de recherches de l’INRA orientées vers la Microbiologie et l’Ecologie microbienne des sols, la Génétique et l’Amélioration des plantes cultivées, l’Ecologie et la maîtrise des plantes adventices dans les systèmes cultivés, la Pathologie végétale. Les recherches développées au sein de l’UMR visent à progresser dans la connaissance des interactions biotiques (en particulier plantes-plantes et plantes-microorganismes) au sein des agrosystèmes afin de concevoir des systèmes de culture innovants respectueux de l’environnement.Ces recherches sont conduites à différents niveaux d’intégration (de la molécule à la communauté) et d’échelles spatio-temporelles (microcosme, parcelle, paysage, cycle de culture, rotation,…). Elles mettent en œuvre des expertises complémentaires dans les domaines de l’agronomie, de l’écologie, de biologie, la physiologie et l’écophysiologie, la génétique, la microbiologie, la modélisation.
L’unité est structurée en 4 pôles : (i) Gestion durable des plantes adventices, (ii) Déterminismes génétiques et environnementaux de l’adaptation des plantes, (iii) Mécanismes et gestion des interactions plantes-microorganismes, (iv) Biologie et fonctions écosystémiques des sols.

 

Aix Marseille Université

Logo AMUAix-Marseille Université est aujourd’hui la plus grande université francophone. Elle rassemble 74 000 étudiant-e-s en formation initiale et continue et 8 000 personnels. Tous les champs disciplinaires de la connaissance y sont enseignés ­: arts, lettres, langues et sciences humaines­, droit et sciences politiques­, économie et gestion­, santé­, sciences et technologies. Des diplômes de niveau licence, master et doctorat y sont délivrés mais également des diplômes universitaires technologiques, des diplômes d’ingénieur, des diplômes de santé, ainsi que des diplômes universitaires. La qualité de la vie étudiante dans notre université, condition d’épanouissement et de réussite, est une préoccupation de notre communauté universitaire qui souhaite offrir à chaque étudiant-e des conditions de travail, de pratique sportive et de vie culturelle du meilleur niveau. Aix-Marseille Université rassemble 130 structures de recherche, le plus souvent en partenariat avec les organismes de recherche nationaux. Cinq grands domaines sont principalement investis ­: l’énergie­, les sciences de l’environnement et de l’univers­, les sciences de la vie et de la santé­, les sciences et technologies avancées, les sciences humaines et sociales. La transdisciplinarité et la valorisation de la connaissance sont les axes majeurs de développement d’Aix-Marseille Université, université à l’ambition internationale et ancrée dans son territoire.

 

Bureau de Recherches Géologiques et Minières (BRGM)

Le BRGM ou Bureau de Recherches Géologiques et Minières est l’établissement public français de référence dans les applications des sciences de la Terre pour gérer les ressources et les risques du sol et du sous-sol. Il constitue le Service Géologique National français. Son activité s’articule en 5 missions (recherche scientifique, appui aux politiques publiques, coopération internationale, sécurité minière et formation) et 10 grands domaines des géosciences (géologie, ressources minérales, géothermie, stockage géologique du CO2, risques, après-mine, eau, environnement et écotechnologies, laboratoires et expérimentation, systèmes d’information).

 

CEA (Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives)

Au sein de la Direction des applications militaires (DAM) du CEA, le Département analyse, surveillance, environnement (DASE) s’appuie, dans le domaine de la géophysique, sur des données acquises dans différentes technologies (sismique, infrason, hydroacoustique) pour accomplir ses missions. Celles-ci concernent  l’analyse de l’activité sismique en continu dans le cadre de sa mission d’alerte aux autorités, en cas d’essais nucléaires étrangers, de forts séismes et de tsunamis. Par exemple, les réseaux sismiques de métropole et de Polynésie française maintenus depuis les années 1960 fournissent les données nécessaires de base pour alerter les autorités en cas de séismes et tsunamis.

L’expertise acquise dans ce domaine se traduit par les centres d’alerte aux tsunamis opérationnels au CEA : le Centre national d’alerte aux tsunamis (Cenalt), pour les tsunamis de Méditerranée occidentale et Atlantique pouvant impacter les côtes françaises, et le Centre polynésien de prévention des tsunamis (CPPT) à Tahiti, pour les tsunamis du Pacifique pouvant impacter les côtes polynésiennes.

Les activités du DASE en géophysique sont réalisées dans le cadre international, avec l’Organisation du traité d’interdiction complète des essais nucléaires (OTICE), et, pour les tsunamis, avec la Commission océanographique intergouvernementale (COI) de l’Unesco.

 

Centre de Recherche sur la Terre et le Climat Georges Lemaître, Louvain, Belgique

Le Centre de Recherche sur la Terre et le Climat Georges Lemaître fait partie du Earth and Life Institute de l’Université catholique de Louvain à Louvain-la-Neuve. Ce centre a succédé à l’Institut d’Astronomie et de Géophysique Georges Lemaître, créé en 1965 sous l’égide de Monseigneur Georges Lemaître, père de la théorie du Big Bang. Les membres du Centre et de l’Institut mènent des recherches dans les diverses orientations des Sciences de la Terre, de l’Espace et de l’Environnement et participent à l’enseignement de ces disciplines. La plupart des permanents du Centre sont des spécialistes de la modélisation du climat. Leurs recherches portent sur la théorie astronomique des paléoclimats et, plus particulièrement, sur la modélisation des cycles glaciaires-interglaciaires et des climats chauds.  Ils étudient aussi le climat des derniers millénaires, l’impact des activités humaines sur le climat récent et futur, et la prévisibilité du climat aux échelles de temps saisonnière à décennale. Ils bénéficient d’une collaboration étroite avec l’Observatoire royal de Belgique, l’Institut royal météorologique de Belgique et de l’Institut royal d’Aéronomie spatiale de Belgique.

 

Centre d’Écologie Fonctionnelle et Évolutive (CEFE) de Montpellier

Encyclopédie environnement - CEFECréé en 1961, le Centre d’Études Phytosociologiques et Écologiques de Montpellier est devenu en 1988 le Centre d’Écologie Fonctionnelle et Évolutive (CEFE). Le laboratoire est organisé en quatre départements scientifiques (Écologie évolutive, Biodiversité et conservation, Écologie fonctionnelle et Interactions, écologie et sociétés). Ces départements sont assistés de de plates-formes techniques communes. Quatre thèmes transversaux coordonnent l’apport scientifique du CEFE aux grands thèmes internationaux de la recherche en Écologie :

  1. Action de l’Homme, systèmes anthropisés et écologie de la conservation.
    2. Valeur adaptative des traits d’histoire de vie en présence de contraintes.
    3. Rôle de la biodiversité dans le fonctionnement des écosystèmes.
    4. Changements globaux et fonctionnement des écosystèmes.

Les travaux du laboratoire s’inscrivent dans un contexte de biologie et d’écologie évolutives et s’intéressent en particulier à la dynamique de l’adaptation en milieu hétérogène dans l’espace et le temps. Ils visent aussi à apporter des réponses à des questions de gestion et de conservation de la biodiversité. Une grande partie des recherches porte sur les écosystèmes méditerranéens et tropicaux. L’objectif est l’établissement de scénarios d’évolution des systèmes écologiques et de stratégie pour leur conservation, leur restauration ou leur réhabilitation.

 

Centre d’Écologie et des Sciences de la Conservation, MNHN Paris

Le CESCO s’intéresse à la conservation de la biodiversité, en mobilisant des approches d’écologie et d’évolution, ainsi que des interfaces avec les sciences sociales (sciences politiques, sciences de gestion et psychologie). L’équipe URBA développe des projets de recherche-action pour répondre à une importante demande sociétale de connaissance et de gestion de la biodiversité en milieu urbain. Son objectif est d’identifier les mécanismes à l’œuvre dans l’installation et le devenir de la nature en ville afin de faciliter l’émergence d’un urbanisme écologique.

 

 Centre de Droit Public et Privé des Obligations et de la Consommation, Université Savoie Mont-Blanc

CDPPOC universite savoire mont blancBasé à Chambéry, le CDPPOC est le Centre de Droit Public et Privé des Obligations et de la Consommation de la Faculté de droit de l’Université Savoie Mont Blanc (EA 4143). Les thématiques juridiques du CDPPOC sont le droit de la responsabilité, le droit des contrats, le droit de la protection des consommateurs et des usagers des services publics, le droit de la concurrence et du marché, le droit de la montagne, le droit de l’urbanisme, la théorie du droit ou encore l’histoire du droit. Le centre est associé  aux masters de la Faculté de Droit et à l’école Doctorale « Science et Ingénierie des Systèmes de l’Environnement et des Organisations » de l’Université de Savoie.

 

Centre Européen de Prévision Météorologique à Moyen Terme (CEPMMT), Reading, UK

logo CEPMMT ECMWFLe Centre Européen de Prévision Météorologique à Moyen Terme (CEPMMT), ou European Centre for Medium-range Weather Forecast (ECMWF), est une organisation intergouvernementale créée en 1975 et qui regroupe actuellement 34 états membres. Il est situé en Grande-Bretagne, à Reading, environ 70 km à l’ouest de Londres. Les principaux objectifs du CEPMMT sont de fournir des prévisions météorologiques pour protéger les personnes et les biens et promouvoir le développement économique dans les Etats membres. La recherche, toujours aux frontières de la connaissance, et les moyens technologiques mis en œuvre ont permis au CEPMMT de développer un modèle du système Terre/Atmosphère qui produit des prévisions météorologiques aux échéances de 5 à 10 jours, qui s’avèrent encore aujourd’hui les plus fiables du monde.

 

Centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement (CEREMA)

CEREMA - cerema
Le CEREMA est l’établissement public de référence pour développer et capitaliser l’expertise publique en matière d’aménagement, de cohésion territoriale et de transition écologique et énergétique. Il propose une expertise unique dans les domaines de la mobilité, des infrastructures de transport, de l’urbanisme et de la construction, de la préservation des ressources, de la prévention des risques, de la sécurité routière et maritime et de la capacité à intégrer ces différentes compétences dans la construction de projets territoriaux. Centre de ressources et d’expertises scientifiques et techniques pluridisciplinaires, il apporte son concours à l’élaboration, la mise en œuvre et l’évaluation des politiques publiques, tant au niveau national que local. Il intervient en appui direct auprès des services de l’État, des collectivités et des entreprises (pré-AMO, AMO, missions opérationnelles spécifiques…). Il développe, expérimente et diffuse des solutions innovantes. Fort de plus de 2800 agents sur l’ensemble du territoire métropolitain et d’une connaissance historique des problématiques et contextes locaux, le CEREMA est résolument engagé dans le défi du développement durable des territoires, pour élaborer les politiques publiques de demain.

 

Centre Hospitalier Guillaume Régnier, Rennes

Le centre hospitalier Guillaume-Régnier (CHGR) est un établissement public de santé mentale situé à Rennes dans le département d’Ille-et-Vilaine, en Bretagne spécialisé en psychiatrie, addictologie, handicap physique et mental et géronto-psychiatrie.

Cet hôpital assure des missions de prévention, de diagnostic, de soins, de réinsertion sociale, d’enseignement et de recherche (deux services hospitalo-universitaires et quatre professeurs des universités-praticiens hospitaliers). Il est le terrain de stage exclusif en matière de psychiatrie pour les étudiants de 2e cycle en médecine et en pharmacie de la faculté de médecine et pharmacie de l’université Rennes-I et reçoit des étudiants en psychologie (université Rennes-II) ou en droit de la santé (université Rennes-I) et des étudiants en soins infirmiers.

 

Centre international de recherche sur l’environnement et le développement (CIRED)

CIRED logoLe Centre international de recherche sur l’environnement et le développement [Cired] est un groupe de recherche interdisciplinaire à large dominante économique, créé en 1973 au sein de l’École des hautes études en sciences sociales,EHESS), par Ignacy Sachs, sur la base d’un noyau rassemblé dès 1971 sous le nom de Groupe de recherche sur la stratégie de développement. Fondé sur une problématique de l’articulation des enjeux de développement et de la protection de l’environnement, dans la suite des débats suscités par la Conférence des Nations unies sur le développement humain de Stockholm (1972) et en réponse aux thèses du Club de Rome (Meadows et al., 1972), le Cired se consacre à l’étude des relations entre les modes de régulation économique et la genèse des univers techniques qui structurent les rapports entre les activités humaines et l’environnement biophysique naturel et construit. Il s’agit d’appréhender comment les institutions, les incitations économiques et les conventions sociales formatent les choix techniques et les modes de consommation, puis d’étudier les rétroactions économiques et sociales de leurs impacts environnementaux. Ces questions touchent largement à l’articulation court terme – long terme. C’est pourquoi les travaux conduits au Cired ont toujours été sous-tendus par un effort de modélisation prospective et par un dialogue constant avec les sciences de la nature et les sciences de l’ingénieur. Cette pluridisciplinarité, transcrite dans la composition même de l’équipe, lui a permis de relever le défi d’une analyse intégrée des enjeux du développement durable, en prenant en compte les interdépendances entre secteurs d’activité et entre types d’enjeux (sécurité énergétique et alimentaire, climat, risques technologiques, globalisation économique, résorption de la pauvreté).Cette pluridisciplinarité explique l’adossement institutionnel du Cired. Devenu Unité de recherche associée au Centre national de la recherche scientifique [CNRS] en1976, le Cired intègre les dispositifs d’AgroParisTech, (Institut des sciences et industries du vivant et de l’environnement) en 2000, de l’École nationale des ponts et chaussées (ENPC, maintenant École des Ponts ParisTech) en 2004, et du Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement [Cirad] en 2004. Ces institutions affirment ainsi leur volonté de traiter des questions que la problématique du développement durable pose aux secteurs d’activité dont elles ont la charge dans un cadre intégré et non par juxtaposition d’approches sectorielles.

Centre national de recherches météorologiques (CNRM)

CNRM logoLe Centre national de recherches météorologiques (CNRM) est une unité Mixte de Recherche (UMR 3589) constituée par le CNRS et Météo-France. Ses activités de recherche sont principalement menées sur les sites de Toulouse, Grenoble et Lannion de Météo-France. Le CNRM assure une grande part des activités de recherche de l’Établissement Public à caractère Administratif Météo-France, service national météorologique et climatique. En conséquence, de nombreux objectifs du CNRM sont pilotés par les missions opérationnelles de Météo France, ce qui induit une coopération très étroite avec les équipes de production de l’Établissement et permet de hiérarchiser les projets de recherche. Le CNRM contribue au maintien d’infrastructures de recherches utilisées par toute la communauté scientifique. Les priorités vont en premier lieu aux besoins relatifs à la protection des personnes et des biens : prévision météorologique sur de multiples échelles spatio-temporelles, physique et dynamique de l’atmosphère, connaissance et évolution du climat, interactions entre l’homme, le climat et l’atmosphère. Pour plus d’information voir  http://www.cnrm.meteo.fr

Centre Scientifique de Monaco (CSM)

centre scientifique monaco
Le Centre Scientifique de Monaco (CSM) est un Institut public de recherche de Monaco créé en 1960 à l’initiative du Prince Rainier III. Dédié à la recherche scientifique, le CSM est divisé en trois départements : un département de biologie marine spécialisé dans l’étude du fonctionnement des écosystèmes marins tropicaux et méditerranéens et les effets du changement climatique sur ces écosystèmes ; un département de biologie polaire, spécialisé dans l’étude des manchots comme indicateurs des changements dans l’écosystème polaire, et un département de biologie médicale composé de trois équipes spécialisées dans la recherche contre le cancer et la thérapie génique, les maladies neuromusculaires dégénératives et le microbiome humain. Ce département intègre également une agence de financement de la recherche clinique en Principauté, un pôle de Santé humaine et Environnement agrée comme centre collaborateur de l’OMS pour la Santé et le Développement Durable et un Observatoire International sur la Drépanocytose (MONACORD). Le CSM est présidé par le Prof. Patrick Rampal, ancien doyen de la faculté de Médecine de l’Université de Nice.

 

CHU Grenoble Alpes

CHU grenoble alpesDepuis sa création le 1er janvier 2016, l’Université Grenoble Alpes est régulièrement positionnée aux sommets 100 de plusieurs grands classements internationaux. L’UGA gère 45 000 étudiants et 23 facultés, écoles et instituts, y compris la Faculté de médecine et de pharmacie. Le CHU Grenoble Alpes est un hôpital de soins tertiaires de 2000 lits incluant toutes les activités médicales, chirurgicales et obstétricales. Le laboratoire de Bactériologie-Hygiène Hospitalière participe au diagnostic, au traitement et à la prévention des maladies infectieuses. Il gère le Centre National de Référence Francisella tularensis, agent de la tularémie. Nos activités de recherche sont réalisées dans le laboratoire TIMC-IMAG (UMR CNRS/UGA 5525). Elles portent  sur le développement et l’évaluation de nouvelles technologies diagnostiques et thérapeutiques des maladies infectieuses, et plus particulièrement des zoonoses.

CNR – Compagnie Nationale du Rhône

CNR - compagnie nationale du rhoneCréée en 1933, la Compagnie Nationale du Rhône (CNR) a reçu de l’Etat français en 1934 la concession du fleuve Rhône pour l’aménagement et l’exploitation d’ouvrages hydroélectriques selon 3 missions : la production d’électricité, la navigation, l’irrigation et autres usages agricoles. La CNR a construit et exploite 18 aménagements hydroélectriques de basse et moyenne chute construits de 1948 à 1986 entre la frontière Suisse et la mer Méditerranée. Les aménagements sont composés de 19 centrales hydroélectriques, 19 barrages et 14 écluses à grand gabarit. CNR est une société anonyme d’intérêt général avec un actionnariat équilibré public – privé.

 

Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)

Logo CNAMLe Cnam est un grand organisme qui relève de l’enseignement supérieur. Sa mission principale, depuis sa création en 1804, est la formation professionnelle continue. Le centre de Paris compte 64 000 auditeurs, il est animé par 348 enseignants-chercheurs rattachés à 21 laboratoires de recherche. Le Cnam est également présent dans les Régions françaises et dans plusieurs pays étrangers.
La Chaire de Géotechnique a été créée après l’accident du barrage de Malpasset (1959) et a connu trois responsables successifs : Georges Filliat, Claude Plumelle et Philippe Delmas. L’équipe d’enseignants est constituée de deux professeurs et de deux maîtres de conférences. Leurs enseignements et leurs travaux de recherche portent sur les fondations et ouvrages géotechniques, le renforcement des sols et des roches, les terrassements et routes, les travaux souterrains, l’hydrogéologie et la géotechnique de l’environnement.

 

Département de Chimie Moléculaire (DCM), Grenoble

logo du dcmLe Département de Chimie Moléculaire (DCM) est un laboratoire de l’Université Grenoble Alpes et du CNRS (UMR CNRS-UGA 5250) localisé sur le campus de Saint-Martin-d’Hères – Gières. Il regroupe plus de 150 personnes qui se mobilisent sur deux axes : la chimie pour la santé et la chimie pour les nanosciences. Il est structuré autour de grandes thématiques qui comprennent la chimie théorique, la chimie inorganique, les biomolécules (ADN, peptides) et la synthèse organique. Bénéficiant d’un plateau technique de très bon niveau (résonnance magnétique nucléaire, spectrométrie de masse …), il est associé à des actions tournées vers les applications thérapeutiques, diagnostiques et technologiques avec des laboratoires universitaires et industriels.

 

 

Département de zoologie / biologie évolutive de l’Université de Ratisbonne, Allemagne

Le département de zoologie / biologie évolutive de l’Université de Ratisbonne (Allemagne) rassemble une trentaine de chercheurs et techniciens dont deux chercheurs permanents et une quinzaine de doctorants et postdoctorants. L’équipe conduit des recherches dans l’objectif de tester les prédictions de la théorie de l’évolution pour mieux comprendre l’évolution de nouveaux traits et styles de vie chez plusieurs organismes modèles, en particulier les fourmis et les arthropodes aquatiques. Les activités de recherche combinent notamment des approches de phylogénie et zoogéographie, l’étude de la structure et de la fonction des sociétés animales, l’étude de la reproduction et du vieillissement des insectes sociaux, de la communication et prise de décision ainsi que des adaptations rapides chez les fourmis.

 

École et observatoire des sciences de la terre (EOST), Strasbourg

Logo EostL’École et observatoire des sciences de la terre (EOST) assure des missions d’enseignement, de recherche, d’observation et de diffusion des connaissances en sciences de la Terre. Elle est placée sous la tutelle de l’Université de Strasbourg et du CNRS.
L’EOST est installé dans deux bâtiments du campus universitaire central de Strasbourg et compte plus de 160 personnels permanents.
Composante de l’Université de Strasbourg, l’EOST assure la formation en sciences de la terre et de l’environnement de près de 400 étudiants (Ecole d’ingénieurs, Licence et Master, école doctorale).
L’activité de recherche est développée dans deux unités mixtes du CNRS et de l’Université de Strasbourg : l’Institut de Physique du Globe de Strasbourg (IPGS) et le Laboratoire d’Hydrologie et de Géochimie de Strasbourg (LHyGeS). Elle inclut également une structure de coordination de la recherche menée, tant à l’université que dans des entreprises, sur l’exploitation de la géothermie haute température (Labex G-eau-thermie profonde).

 

École Normale Supérieure de Lyon

ecole normale superieure lyon logoL’ENS de Lyon forme à l’enseignement et à la recherche de haut niveau des étudiants motivés, qui ont le désir d’apprendre. Initialement destinée à la formation des enseignants du supérieur (professeurs agrégés des lycées et des universités), elle ajoute aujourd’hui à cette mission initiale une formation des futurs chercheurs et enseignant-chercheurs, par et pour la recherche, dans les disciplines scientifiques et littéraires.

 

 

École Nationale Supérieure d‘Ingénieurs de Poitiers

eensi poitiersL’École Nationale Supérieure d‘Ingénieurs de Poitiers (ENSI Poitiers, créée en 1984) de l’Université de Poitiers forme en trois ans des ingénieurs spécialisés en ingénierie pour la protection de l’environnement. Elle délivre deux diplômes. Un diplôme Énergie avec trois parcours : Éclairage, acoustique et climatisation, Énergétique industrielle et Maitrise de l’énergie électrique. Un diplôme Génie de l’eau et génie civil avec trois parcours : Géotechnique et matériaux de construction, Géotechnique et travaux souterrains et Traitement des eaux et des nuisances.

 

 

Encyclopédie de l’Énergie

Localisée dans l’École Nationale Supérieure de l’Énergie, de l’Eau et de l’Environnement (ENSE3),  l’association (loi 1901) Encyclopédie de l’Énergie a l’ambition de diffuser sur la Toile des connaissances expertisées, personnalisées et structurées sur tous les aspects de l’énergie. Après 4 années d’activité, fin juin 2018, l’Encyclopédie qui a mis en ligne 180 articles compte poursuivre au rythme mensuel moyen de 4 articles.

 

 

ENGIE

engieENGIE (ex GDF SUEZ) – www.engie.com – est un groupe mondial de référence dans l’énergie bas carbone et les services. Avec ses 170 000 collaborateurs, ses clients, ses partenaires et ses parties prenantes, ENGIE est engagée chaque jour pour accélérer la transition vers un monde neutre en carbone, grâce à des solutions plus sobres en énergie et plus respectueuses de l’environnement. Dans les années 2006 à 2013, la BU Production Électricité France intégrée dans le groupe portait entre autres objectifs, le développement industriel et volontariste de la production et la commercialisation d’électricité renouvelable en France (hydroélectricité, éolien terrestre et offshore, solaire, etc.).

 

Environnements et Paléoenvironnements Océaniques et Continentaux (EPOC)

EPOCEPOC est une unité mixte de recherche dont le domaine d’intérêt concerne l’étude des Environnements et des Paléoenvironnements Océaniques et Continentaux. Son spectre disciplinaire est particulièrement large puisqu’il va de l’analyse des sédiments à l’écotoxicologie aquatique en passant par la physique et la chimie de l’environnement, la biogéochimie et l’écologie. Les activités de recherche et d’enseignement d’EPOC sont structurées en trois grandes thématiques : l’écotoxicologie, l’océanographie côtière et les géosciences marines. C’est dans ce dernier thème qu’emmargent les recherches en paléoclimatologie, soit la reconstitution des climats et des environnements du passé. Plusieurs régions sont ainsi étudiées, des zones polaires, Arctiques ou Antarctiques, jusqu’aux zones tropicales, en passant par des études très régionales sur l’Aquitaine. Les travaux menés en paléoclimatologie par les chercheurs et enseignant-chercheurs du laboratoire EPOC sont connus et reconnus, tant au niveau national qu’international.

 

Équipe Systèmes Moléculaires Organisés et Développement Durable (SMODD), Toulouse

 

logo IMRCP équipe SMODDL’équipe SMODD est une composante du laboratoire IMRCP (Interactions Moléculaires et Réactivité Chimique et Photochimique), rattaché au CNRS et à l’Université Paul Sabatier de Toulouse. L’originalité de ses recherches repose sur la synthèse et l’ingénierie des Systèmes Moléculaires Organisés (SMO). Ces systèmes sont développés à partir des nouveaux concepts de la chimie au service du développement durable. La principale force du groupe est de concevoir et de synthétiser des SMO originaux qui peuvent être développés dans trois domaines d’application : vectorisation (transport de médicaments ou autres principes actifs vers sa cible), réactivité en milieu confiné et élaboration de matériaux biodégradables. La spécificité de l’équipe est de réussir à développer des projets qui combinent recherche fondamentale et innovation technologique. Certains projets parcourent tout le chemin jusqu’au produit commercial. Entre février 2005 et février 2010, l’équipe a publié 62 articles dans ces domaines (dans des revues évaluées par des pairs), 18 conférences invitées et 11 brevets.

 

ESPCI Paris

espci-parisL’ESPCI Paris – PSL forme des ingénieurs de l’innovation capables d’inventer l’avenir et de répondre aux enjeux du monde de demain. Forte d’une histoire riche de 6 Prix Nobel et de 570 enseignants-chercheurs répartis dans 11 Unités de recherche, l’ESPCI crée l’innovation en encourageant l’interdisciplinarité et le dialogue entre sciences fondamentales et appliquées. Le laboratoire Mécanique des Milieux Hétérogènes (PMMH, UMR 7636) est une unité de recherche expérimentale pluridisciplinaire dans les domaines de la mécanique des fluides et des solides (ingénierie), physique, biologie et chimie). Son activité s’étend de la recherche fondamentale aux applications, avec des relations importantes avec le monde industriel concernant principalement l’innovation dans les procédés. L’organisation OPUR explore et développe des sources d’eau alternatives peu coûteuses et pratiques et rassemble des individus et des organisations intéressés à atteindre ces objectifs.

 

Evian-Volvic World

Logo evian Volvic WorldEvian-Volvic World est l’entreprise qui assure la gestion, la protection, l’embouteillage et la commercialisation des quatre sources et marques françaises d’eau minérale naturelle (Evian, Volvic, Badoit, La Salvetat) de la Division « Eaux » du groupe Danone. Dans le cadre d’EVW, le Water Institute by evian transmet le savoir-faire historique de la division Eaux du groupe Danone. Il améliore la connaissance scientifique sur la gestion et la protection des ressources en eau, tout particulièrement des eaux souterraines. S’inscrivant au cœur de la stratégie de développement durable de la division Eaux du groupe Danone, il transmet son expertise scientifique et partenariale sur l’eau et les écosystèmes, les usages de l’eau, notamment dans le cadre d’une activité de production industrielle, et l’accès à l’eau. Il partage ses compétences avec professionnels et étudiants via quatre pôles d’activité : Enseignement et formation, Recherche scientifique et technique, Conférences et workshops, Consulting.

 

Faculté de Pharmacie de Lille

La Faculté de Pharmacie est l’Unité de Formation et de Recherche de l’Université de Lille qui assure la formation des futurs pharmaciens mais aussi la formation continue de pharmaciens professionnels. Forte de 3000 étudiants et de 230 personnels, dont 103 enseignants chercheurs répartis dans une quinzaine d’équipes de recherche, la Faculté s’investit dans les grands champs de santé actuels dont les liens santé-environnement. Elle participe à de nombreux programmes à destination des pharmaciens : sécurisation du lien ville/hôpital, pharmacovigilance, éducation thérapeutique, entretiens pharmaceutiques…

 

 

Faculté de Pharmacie de l’Université Grenoble Alpes (UGA)

La Faculté de Pharmacie de l’UGA (1400 étudiants) forme les futurs pharmaciens et professionnels de santé au service du patient : écoute des patients, pertinence du conseil, analyse de la prescription médicale, sécurisation de la délivrance du médicament. En outre, la Faculté prépare aux nombreux métiers du pharmacien, dont ceux pratiqués en milieu hospitalier : délivrance au sein d’établissements de soins ou dans les laboratoires d’analyses médicales. Les Relations Internationales occupent une part importante dans la formation (plus de 90 accords internationaux initié et implémenté à ce jour). Ancrée sur les Laboratoires de recherche de l’UGA, la Faculté se positionne comme un lieu de formation et de recherche tourné vers l’innovation pédagogique et la recherche de l’excellence; elle est également pilote de la mention de Master « Ingénierie de la Santé », lieu de rencontre de jeunes scientifiques, médecins, pharmaciens, ingénieurs, vétérinaires ou sages-femmes, il accueille aujourd’hui plus de 400 étudiants

 

Groupement de Recherche Eau Sol Environnement de Limoges

groupement recherche eau sol environnementLe Laboratoire PEIRENE EA 7500 de l’Université de Limoges est une jeune entité de recherche public (EA) qui existe depuis 2018. Il résulte de la « fusion » du GRESE (Groupement de Recherche Eau Sol Environnement), du LCSN (Laboratoire de Chimie des Substances Naturelles) et de l’UGMA (Unité de Génétique Moléculaire Animale). Les recherches s’articulent autour des « ressources naturelles ». Le laboratoire est organisé en 3 axes dont l’ex-GRESE constitue un axe de recherche. Les travaux sur la zone critique s’intéressent particulièrement à la qualité du milieu et s’appuient sur un groupe pluridisciplinaire multi-compétences en pointe dans le domaine de l’environnement comme en chimie, biologie, microbiologie, sciences du sol, géologie et génie des procédés. Les 40 permanents apportent des réponses aux problèmes environnementaux aux services des acteurs économiques et sociaux dans le domaine du diagnostic comme dans celui du procédé.

 

Imperial College – Département des Sciences de la vie, Londres

logo_imperial-collegeLe département des Sciences de la vie de l’Imperial College de Londres est un des plus grands groupes européens dans ce domaine. Il compte environ une centaine de Professeurs, 180 chercheurs et post-doctorants, 200 doctorants. Les recherches effectuées concernent tous les niveaux d’organisation du vivant et vont des atomes à la biosphère.

 

 

Institut de Biologique de l’École Normale Supérieure (IBENS), Paris

Fondé en 2010 par Antoine Triller, l’Institut de Biologie de l’Ecole Normale Supérieure (IBENS) – unité mixte de l’ENS, du CNRS et de l’INSERM – est un centre de recherche fondamentale qui mène des projets innovants visant à décrypter les mécanismes et principes essentiels au cœur du fonctionnement normal et pathologique des systèmes vivants.Reconnu internationalement pour la qualité et l’originalité de ses travaux, l’IBENS accueille plus de 300 personnes regroupées en 30 équipes autonomes conduisant une recherche hautement collaborative qui allie approches expérimentales et théoriques et dotée d’un fort potentiel translationnel.L’activité scientifique couvre quatre grands champs disciplinaires (Génétique et Génomique, Biologie Cellulaire et Développement, Neuroscience, Ecologie et Evolution) et s’appuie sur cinq plateaux technologiques (Génomique, Protéomique, Imagerie, Biologie Computationnelle, FabLab) et des fonctions support centralisées (Administration, Informatique). Avec une forte vocation à la pluridisciplinarité, l’IBENS porte une vision holistique du vivant en intégrant ses différents niveaux de complexité – des molécules et cellules uniques, aux réseaux et organes, jusqu’aux organismes entiers et aux populations en interaction avec leur environnement.Les recherches menées à l’IBENS bénéficient d’un environnement intellectuel et scientifique exceptionnel procuré par les autres départements de l’ENS (Physique, Chimie, Etudes Cognitives, Mathématiques & Applications) mais également par les nombreux instituts et centres de recherche voisins regroupés au sein de l’Université PSL (Institut Curie, Collège de France, ESPCI, etc…).Au-delà de la recherche à proprement parler, l’IBENS est également un lieu d’innovation technologique (dépôt de brevets, hébergement de start-ups), et de transmission du savoir auprès des jeunes générations. Ainsi notre institut, au sein du Département de Biologie de l’ENS, est fortement impliqué dans l’enseignement et la formation des étudiants et jeunes chercheurs à tous les niveaux. A travers la formation à la recherche par la recherche, l’IBENS vise à préparer et inspirer les chercheurs de demain en sciences de la vie.

 

Institut de Biologie Intégrative de la Cellule (I2BC), Paris-Sud

logo_i2bcL’Institut de Biologie Intégrative de la Cellule (I2BC) est une Unité Mixte de Recherche (CEA, CNRS, Université Paris Sud). L’unité est constituée de près de 80 équipes de recherches, 15 plateformes technologiques, provenant de 8 unités de recherches (CGM, IBBMC, IGM, ISV, LEGS, VMS, SB2SM, SBiGeM). L’institut est réparti sur 3 sites de recherche (Campus d’Orsay de l’Université de Paris Sud, Campus du CNRS de Gif sur Yvette et Campus du CEA de Saclay) au sein de 14 bâtiments jusqu’au rassemblement programmé en 2018 sur le campus du CNRS de Gif.

Institut de Biologie Paris-Seine

L’Institut de biologie Paris-Seine (IBPS – FR3631), créé le 1er janvier 2014, concentre l’ensemble de la recherche en biologie du campus Pierre et Marie Curie, au sein de Sorbonne Université (SU), où cette discipline a occupé de tout temps une place centrale. Situé dans le bâtiment du Quai St-Bernard au bord de la Seine, l’IBPS regroupe plus de 500 personnes réparties dans 5 unités [UMR 7238 : Biologie Computationnelle et Quantitative (CQB), UMR 8256 : INSERM ERL U1164 : Adaptation biologique et vieillissement ; UMR 8246 : INSERM U1130 : Neurosciences ; UMR 7622 : Biologie du développement ; UMR 8237 : Laboratoire Jean Perrin] et 7 plateformes technologiques. L’IBPS souhaite à la fois répondre aux grands défis actuels de la société dans le domaine de l’environnement, du vieillissement, des maladies neurodégénératives et des maladies du comportement, et faire progresser nos connaissances sur le plan fondamental. Une partie centrale de la stratégie de l’IBPS est basée sur le développement de nouvelles méthodologies quantitatives à la frontière de la biologie et de l’informatique, de la biologie et des mathématiques, ou de la biologie et de la physique.

Institut de Biologie Structurale (IBS) de Grenoble

Encyclopédie environnement - logo ibsL’Institut de Biologie Structurale à Grenoble est une Unité Mixte de Recherche (UMR 5075) créée par le CEA, le CNRS et l’Université Grenoble Alpes, situé à Grenoble sur le campus de la presqu’île. Il propose des approches multi-disciplinaires, aux frontières de la biologie, de la physique et de la chimie, alliant recherche fondamentale (étude structurale et fonctionnelle des macromolécules biologiques – ex. les protéines), recherche appliquée et innovation technique. Sa mission est de déterminer la fonction et le mode d’action de protéines qui présentent un intérêt particulier pour comprendre les mécanismes fondamentaux du vivant ou pour des applications médicales et biotechnologiques. Pour cela l’IBS développe des nouvelles approches en biologie structurale en s’appuyant sur un plateau complet de plateformes technologiques ainsi que sur les grands instruments grenoblois : le synchrotron ESRF et l’Institut Laue-Langevin (ILL). Ses thématiques sont développées au sein de dix-huit groupes, regroupant environ 270 personnes. Les scientifiques de l’IBS participent activement à la formation des étudiants, élèves de master et doctorants, et plus de 20 professeurs et assistants professeurs enseignent à l’UGA.

 

Institut de Chimie des Milieux et Matériaux de Poitiers

institut chimie poitiers L’IC2MP est un Institut de recherche interdisciplinaire créé en 2012, dans le domaine de la chimie et des géosciences de surface. Il regroupe un effectif de 250 personnes sur 13 000 m2 sur la campus Sciences de l’Université. Il dépend des sections du CNRS 14 (section principale), et 13, 16, et 20 (sections secondaires). L’institut regroupe 5 équipes et 3 plateformes issues de la fusion de tout ou partie de quatre laboratoires de Chimie et de Géosciences qui ont une reconnaissance de la part du CNRS datant d’une quarantaine d’années ; ces quatre laboratoires sont : le Laboratoire de catalyse en chimie organique (LACCO ou UMR6503) ; le Laboratoire de synthèse et réactivité des substances naturelles (SRSN ou UMR6514) ; le Laboratoire de chimie et microbiologie de l’eau (LCME ou UMR6008) ; le Laboratoire d’hydrogéologie, argiles, sols et altérations (HydrASA ou UMR6269). Les domaines d’application de se recherches concernent l’énergie, les matériaux et les ressources naturelles dans le cadre d’un environnement durable.

 

Institut de Droit de l’Environnement (IDE) de Lyon

logo institut de droit de l'environnementL’Institut de Droit de l’Environnement est une composante du Laboratoire Environnement Ville Société (EVS – UMR 5600) de l’Université Jean Moulin Lyon 3. Créé en 1979, il compte aujourd’hui six enseignants-chercheurs statutaires, une dizaine de doctorants et plusieurs chercheurs associés. Ses activités de recherche portent sur tous les domaines de l’environnement, abordés sous l’angle juridique : climat, biodiversité, déchets, eau, risques, urbanisation, énergie… L’objectif des chercheurs est de montrer que le droit est un outil permettant de répondre aux enjeux environnementaux, ce qui les conduit naturellement à travailler en faisant appel à la pluralité scientifique : écologues, philosophes, géographes, économistes, ingénieurs… C’est dans cet esprit qu’ils apportent leurs connaissances à l’Encyclopédie de l’Environnement.

 

Institut de Géographie Alpine (IGA), Grenoble

logo igaL’Institut de Géographie Alpine, fondé en 1911, est l’un des plus anciens instituts de géographie de France. Il est par tradition orienté vers la géographie des montagnes, en particulier les Alpes françaises. Cette thématique reste très présente, même si les thèmes et les problématiques se sont largement diversifiés. L’IGA et ses laboratoires ont aussi été plus récemment un des pôles de développement de la notion de territoire. L’IGA est largement impliqué dans des recherches finalisées sur le développement territorial et en géographie environnementale. L’IGA assure enfin des formations de licence et de maîtrise en géographie générale, géographie environnementale et développement territorial.

 

Institut de Physique du globe de Paris

L’institut de physique du globe de Paris est un grand établissement d’enseignement supérieur et de recherche. Il est établissement composante de l’Université de Paris, tutelle de l’Unité Mixte de Recherche no.7154 du Centre national de la recherche scientifique (CNRS) et laboratoire spatial du Centre national d’études spatiales (CNES). Les missions de l’IPGP sont la recherche et l’enseignement dans tous les champs d’étude de la Terre et des planètes solides (géophysique, géochimie, géologie quantitative). L’institut est responsable de la surveillance des trois volcans actifs Français (La Soufrière de Guadeloupe – La montagne Pelée en Martinique et Le Piton de la Fournaise à la Réunion), du réseau mondial de stations sismologiques Géoscope, et est une composante majeure du réseau mondial d’observatoires magnétiques Intermagnet.

 

Institut de Systématique, Évolution, Biodiversité (ISYEB), MNHN Paris

logo_isyebL’Institut de Systématique, Évolution, Biodiversité (ISYEB, UMR 7205) est une unité CNRS du Muséum national d’Histoire naturelle de Paris, ayant aussi pour tutelles l’Université Pierre et Marie Curie et l’École Pratique des Hautes Études. Il a pour objectif de répondre aux questions concernant l’origine de la biodiversité, les modalités de diversification des espèces, la mise en place des communautés en lien avec l’évolution spatio-temporelle des taxons. C’est un des pôles européens de systématique qui contribue de manière importante à la taxonomie et à la biologie de l’évolution.

Institut de Systématique, Évolution et Biodiversité (ISYEB), Paris

L’excellence académique de la Faculté des Sciences et Ingénierie de Sorbonne Université est portée par ses enseignants-chercheurs et chercheurs dont les travaux de recherche nourrissent la qualité des formations dispensées sur les différents campus de la faculté, à Paris et dans les stations marines de Banyuls, Roscoff et Villefranche-sur-Mer. En 2020, la Faculté comptait 72 laboratoires de recherche, 3 200 personnels et 22 000 étudiants. Le laboratoire Institut de Systématique, Evolution et Biodiversité (ISYEB, UMR 7205) est une unité mixte de recherche travaillant sous la tutelle du Muséum National d’Histoire Naturelle (MNHN), de Sorbonne Université (SU), du CNRS (Institut écologie et environnement, INEE), de l’Ecole Pratique des Hautes Études (EPHE) et de l’Université des Antilles. L’ISYEB a pour objectif d’étudier l’origine de la biodiversité, la diversification des espèces et l’établissement de communautés en relation avec l’évolution des taxons dans le temps et dans l’espace. L’unité est l’un des pôles européens de la systématique et contribue de manière significative aux domaines de la taxonomie et de la biologie de l’évolution. Des approches intégratives y sont développées, qui ont permis de mettre en œuvre des outils taxonomiques, moléculaires (génomiques et méta-génomiques), acoustiques, cytogénétiques, morphologiques et morphométriques.

 

Institut des géosciences de l’environnement (IGE), Grenoble

logo igeL’Institut des géosciences de l’environnement (IGE, UMR 5001) est un laboratoire public de recherche créé en 2017 de la fusion du Laboratoire de glaciologie et de géophysique de l’environnement (LGGE) et du Laboratoire d’étude des transferts en hydrologie et environnement (LTHE). L’IGE mène des recherches sur le climat, le cycle de l’eau, la cryosphère et les environnements naturels et anthropisés. Ces recherches visent à mieux comprendre les processus qui régissent le fonctionnement des différents environnements géophysiques (océan, atmosphère physico-chimique, cryosphère, bassins versants, zone critique), leurs interactions et réponses aux pressions anthropiques, ainsi que les processus d’adaptation et de résilience des sociétés. Les grands terrains de recherche sont les zones alpines, les zones polaires, l’océan global et les zones intertropicales. L’IGE s’appuie sur une stratégie combinant l’observation (observations de terrain, services nationaux d’observations, missions spatiales), le développement instrumental et la modélisation.

 

Institut Laue-Langevin (ILL), Grenoble

logo illL’Institut Laue-Langevin, nommé ainsi en l’honneur des physiciens Max von Laue et Paul Langevin, est un organisme de recherche international basé à Grenoble. Sa recherche est centrée sur la production de neutrons et leur utilisation pour l’étude de la structure de la matière et de ses propriétés à l’échelle microscopique. La diffusion des neutrons est surtout une méthode idéale pour observer les mouvements des atomes et des molécules. En particulier elle permet d’analyser les mouvements des molécules organiques, et par conséquent de comprendre le fonctionnement des organismes vivants. Les neutrons produits à Grenoble sont issus d’un réacteur nucléaire analogue à ceux qui produisent notre électricité. A l’ILL on recueille les neutrons et on élimine l’énergie produite. Dans les centrales nucléaires, c’est le contraire.

 

Institut Méditerranéen de la Biodiversité et d’Ecologie marine et continentale (IMBE)

L’Institut Méditerranéen de la Biodiversité et d’Écologie marine et continentale (IMBE) est une Unité Mixte de Recherche. L’Unité est rattachée à 4 tutelles, Aix-Marseille Université (AMU), le CNRS-UMR7263, l’IRD-UMR237 et Avignon Université (AU). En Janvier 2018, l’Institut Méditerranéen de la Biodiversité et d’Écologie marine et continentale rassemble 175 personnels permanents, (dont 93 Enseignants-chercheurs, 27 chercheurs et 55 techniciens, ingénieurs et administratifs), 58 doctorants et une trentaine de personnels contractuels. L’unité est implantée en France sur 6 sites principaux à Marseille, Aix en Provence et Avignon, ainsi que sur le site de l’O3HP. Avec plus de 280 professionnels de la recherche en environnement, l’IMBE apporte une compétence forte dans les domaines clés de la biodiversité, de l’évolution, de l’écologie, de la paléoécologie, des relations santé et environnement et des relations homme-milieu (écologie globale).

 

Institut Micalis, Paris-Saclay

logo micalisL’Institut Micalis est une unité mixte de recherche associant l’INRA et AgroParisTech, qui est implantée sur le campus de l’Université Paris-Saclay. L’objectif de Micalis est d’étudier la «Microbiologie de l’Alimentation au service de la Santé ». Les expertises et les projets de recherche des 350 agents de l’Institut Micalis s’articulent autour de 3 axes thématiques qui étudient : 1, la physiologie des micro-organismes par la biologie systémique, 2, les mécanismes d’émergence des microorganismes pathogènes opportunistes d’origine alimentaire et 3,les écosystèmes microbiens complexes de l’Aliment et de l’Homme en tant qu’éléments déterminants de la qualité des aliments et de la santé.Les travaux de M. Thomas s’intègre dans ce dernier pôle thématique  puisqu’ils ont pour objectif de mieux comprendre le dialogue entre les microorganismes et les cellules humaines.

 

Institut Nanoscience et Cryogénie (INAC), Grenoble

logo inacL’Institut Nanoscience et Cryogénie (INAC) est un institut du CEA, structure fédérative de recherche CEA-Université Grenoble Alpes. Il est composé de 5 laboratoires associés à l’UGA et pour certains au CNRS. Parmi eux, le laboratoire SyMMES (SYstèmes Moléculaires et nanoMatériaux pour l’Energie et la Santé) a pour but de développer de la recherche fondamentale sur des thématiques à fort enjeu sociétal : énergies décarbonées, technologies de l’information et de la communication, biotechnologies et santé humaine. Pour ce faire, le SyMMES explore la conception, la synthèse et l’étude d’architectures et de matériaux fonctionnels innovants et originaux. Il s’intéresse également à la réactivité et aux propriétés des biomolécules, apportant ainsi une approche originale à des questionnements de biologie.

 

Institut national de Recherche en Sciences et Technologies pour l’Environnement et l’Agriculture (IRSTEA)

Logo IRSTEAIrstea développe un modèle de recherche finalisée en sciences de l’environnement visant à produire des solutions concrètes au bénéfice de la décision publique et débouchant sur l’action. Les recherches sont à forte composante technologique et méthodologique, fondées sur une démarche de co-construction des questionnements scientifiques avec de nombreux acteurs socio-économiques. Les recherches portent principalement sur l’eau, les territoires et les écotechnologies. Plus spécifiquement, le centre Irstea de Grenoble mène des recherches sur les risques naturels en montagne, sur les écosystèmes et socio-écosystèmes et sur les enjeux environnementaux et climatiques pour les territoires périurbains et de montagne. L’IRSTEA a fusionné le 1er janvier 2020 avec l’INRA pour former l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (INRAe).

 

Institut National de Recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (INRAe)

L’Institut national de la recherche agronomique (INRA) était un organisme français de recherche en agronomie existant de 1946 à 2019. L’institut fusionne le 1er janvier 2020 avec l’IRSTEA pour former l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (INRAE). Les recherches menées par l’INRA puis à l’INRAe sont guidées par l’évolution des questionnements scientifiques et orientées par les défis planétaires posés par l’alimentation, l’environnement et la valorisation des territoires, que l’agriculture et l’agronomie ont à relever. Changement climatique, nutrition humaine, compétition entre cultures alimentaires et non alimentaires, épuisement des ressources fossiles, équilibre dans la gestion des territoires sont autant d’enjeux qui positionnent l’agronomie comme fondatrice d’un développement harmonieux sur les plans économique, social et environnemental.

 

Institut de Recherche Biomédicale des Armées (IRBA), Brétigny-sur-Orge

institut de recherche biomédicale des armées L’Institut de Recherche Biomédicale des Armées (IRBA) est l’établissement du Service de Santé des Armées (SSA) spécifiquement dédié à la recherche. Implanté en Île-de-France, à Brétigny-sur-Orge (Essonne), il conduit des recherches médicales centrées sur les milieux d’emploi des forces armées ainsi que sur les risques NRBC (nucléaire, radiologique, biologique et chimique). L’Institut assure des activités de recherche, des expertises et des formations. L’Institut, créé le 1er mars 2009, a regroupé les quatre établissements de recherche du Service de santé des armées dans une perspective de concentration des moyens de recherche dédiés  à l’amélioration de la santé des militaires. Il dépend de la DGA (Direction Générale de l’Armement).

 

Institut de Recherche pour le Développement (IRD) – UMMISCO

L’Institut de recherche pour le développement est un établissement public français placé sous la double tutelle des ministères de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et des Affaires étrangères et du Développement international. Il porte, par son réseau et sa présence dans une cinquantaine de pays, une démarche originale de recherche, d’expertise, de formation et de partage des savoirs au bénéfice des territoires et pays qui font de la science et de l’innovation un des premiers leviers de leur développement. UMMISCO est une Unité Mixte Internationale de Modélisation Mathématique et Informatiques des Systèmes Complexes. Cette unité est composée de 63 chercheurs ou enseignants-chercheurs permanents qui mènent des recherches en informatique et en mathématique appliquées à des problématiques réelles touchant l’épidémiologie, l’écologie, et la société. UMMISCO est sous tutelle de l’IRD et de Sorbonne Universités. Ses partenaires sont l’Université Cady Ayyad de Marrakech au Maroc, l’Université Cheikh Anta Diop à Dakar et l’Université Gaston Berger à Saint-Louis au Sénégal, l’Université de Yaoundé 1 au Cameroun, ainsi que l’Université des Sciences et techniques d’Hanoi au Vietnam.

 

Institut de Recherche pour le Développement (IRD) – UMR DIADE

L’Institut de Recherche pour le Développement (IRD) est un établissement public français placé sous la double tutelle des ministères de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation et de l’Europe et des Affaires étrangères. Il réalise des activités de recherche, d’expertise, et de formation en partenariat visant à contribuer au développement durable et équitable des pays en développement, principalement dans les régions intertropicales et de l’espace méditerranéen. L’UMR DIADE (Diversité Adaptation et Développement des plantes ; IRD, Université de Montpellier, CIRAD) étudie la biodiversité végétale, les mécanismes d’adaptation des plantes et de leurs interactions avec l’environnement, et explore le développement des plantes pour mieux comprendre l’expression des caractères et leur fonctionnement. L’étude de l’agrobiodiversité permet de caractériser l’exceptionnelle diversité végétale des pays du Sud avec pour objectifs sa préservation mais aussi sa valorisation par les sociétés locales et les systèmes économiques. Les recherches sur les mécanismes d’adaptation des plantes et de leurs interactions avec l’environnement contribuent à des objectifs de sécurité alimentaire pour produire plus et « mieux » dans un contexte de changements globaux. L’objectif final est d’aboutir à une meilleure durabilité des productions végétales, et de répondre aux attentes de la transition agroécologie.

 

Institut National des Sciences et Techniques Nucléaires (INSTN)

logo_instnL’INSTN est un établissement public d’enseignement supérieur, administré par le CEA (Commissariat à l’Énergie atomique et aux énergies Alternatives), et placé sous la tutelle conjointe des ministères en charge de l’Enseignement Supérieur, de l’Industrie, de l’Économie et de l’Environnement. L’INSTN a été créé en 1956 et accompagne ainsi l’essor du nucléaire depuis 60 ans en contribuant au développement des ressources humaines dont ont besoin la recherche et l’industrie, à tous les niveaux de qualification, de l’opérateur au chercheur.

 

Institut photonique d’analyse non-destructive européen des matériaux anciens (IPANEMA)

logo IPANEMAIPANEMA est une unité de service et de recherche (CNRS, Ministère de la Culture et de la Communication et Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines) située sur le site du synchrotron SOLEIL sur le plateau de Saclay. C’est un laboratoire de développement de méthodes avancées de caractérisation de matériaux de l’archéologie, des paléo-environnements, de la paléontologie et du patrimoine culturel, et d’accompagnement de recherches synchrotron avec des utilisateurs externes hébergés sur la plateforme. Pour ce faire, IPANEMA développe et met à disposition un ensemble de techniques pour préparer les prélèvements, étudier artefacts et échantillons, analyser statistiquement les jeux de données collectées, en s’appuyant sur les plateformes et les grands instruments de l’Université Paris-Saclay.

 

Institut de Planétologie et d’Astrophysique de Grenoble (IPAG)

Logo IPAGL’IPAG travaille sur la formation stellaire et planétaire, depuis les phases initiales de l’effondrement du nuage jusqu’à la physique et chimie des disques circumstellaires et la formation des planètes, ainsi que l’interaction étoile-disque via la magnétosphère stellaire. L’IPAG travaille également sur les plasmas et les processus physiques impliqués dans les phénomènes d’accrétion-éjection autour des objets stellaires jeunes et des objets compacts, où les énergies mises en jeu sont énormes, avec des effets relativistes. Dans les sciences planétaires, l’IPAG étudie les interactions Soleil-Terre et la météorologie de l’espace, les sub-surfaces planétaires, les petits corps du système solaire, et l’évolution chimique de la matière primitive. Pour accompagner ces recherches thématiques, l’IPAG est impliqué dans la construction et le développement de nombreux instruments qui équipent les plus puissants télescopes internationaux dans le monde. L’IPAG développe et exploite également des instruments embarqués sur des sondes spatiales pour étudier la structure interne des corps du système solaire, les eaux souterraines de Mars, et leur composition atmosphérique.

 

Institut polaire français Paul-Émile-Victor

IPEVL’IPEV est l’agence de projection de moyens dans les régions polaires au bénéfice de la recherche académique française. Il se présente sous la forme d’un GIP, localisé à Brest et constitué par 9 membres dont le Ministère de la Recherche, le Ministère des Affaires Etrangères et le CNRS. L’Institut a notamment pour objet de coordonner, soutenir et mettre en œuvre, en qualité d’agence de moyens, des programmes scientifiques et technologiques nationaux et internationaux dans les régions polaires arctiques, antarctiques et subantarctiques. Dans ce cadre, l’IPEV soutient des programmes dans les régions polaires des deux hémisphères. En Antarctique, il assure la gestion, la logistique, la maintenance des bases de Concordia et de Dumont d’Urville en Antarctique, de la station AWIPEV au Spitsberg, et assure la logistique scientifique et la mise en œuvre des programmes de recherche dans les îles subantarctiques françaises, Crozet, Kerguelen et Amsterdam. L’UMR CNRS – Université de Rennes I ECOBIO «Ecosystèmes, Biodiversité, Evolution» est quant à elle une unité pluridisciplinaire d’écologie dont l’axe fédérateur a pour objet la biodiversité des écosystèmes continentaux et insulaires, de la molécule à l’écosystème. Elle développe à ce titre des programmes dans l’Arctique canadien et dans les îles subantarctiques.

 

Institut des Sciences de la Terre (ISTerre)

ISTerre Encyclopedie environnementL’objectif scientifique du laboratoire est l’étude physique et chimique de la planète Terre, à partir de l’observation des objets naturels, de l’expérimentation et de la modélisation des processus.
Les recherches s’articulent autour de 3 problématiques principales :
1. Peut-on prévoir les tremblements de terre, les mouvements de terrains, les éruptions volcaniques, les variations du champ magnétique terrestre ?
Cette prédiction nécessite un long travail d’observation et d’analyse des données, de modélisation expérimentale et numérique des phénomènes pour comprendre les observations, ainsi qu’un travail d’application et de diffusion de nos résultats.
2. Qu’est-ce qui façonne la surface de la Terre ?
Lieu de manifestation de la géodynamique interne, de l’activité des failles, soumis aux forçages externes (érosion, dépôt), le relief reste un objet complexe qui nécessite observation, imagerie, modélisation et théorie.
3. Comment changent les roches soumises à des variations temporelles naturelles ou anthropiques de leur milieu ?
Des marqueurs minéralogiques et géochimiques sont utilisés pour quantifier et modéliser l’évolution des roches et des sols, en réponse à des déséquilibres naturels (pression, température, déformation, eau…) ou anthropiques (pollutions, exploitation de gisements, stockage des déchets,…) à l’aide de l’expérimentation en laboratoire, de l’acquisition fine sur grand instrument et de la modélisation.

 

Institut des Sciences de la Terre de Paris

ISTEP Paris - institut sciences terre parisL’ISTeP est un laboratoire mixte Sorbonne Université-CNRS qui compte une cinquantaine de chercheurs et enseignants-chercheurs permanents. L’unité a pour principales thématiques de recherche la rhéologie de la croûte et de la lithosphère, la dynamique des bassins sédimentaires, des chaînes de montagnes et des marges continentales, les biominéralisations comme traceurs des environnements actuels et fossiles. Les recherches conduites au sein de l’ISTeP s’appuient sur une approche allant du terrain à la modélisation numérique themomécanique en passant par les analyses physico-chimiques utilisant des outils variés. L’Institut a développé de nombreuses collaborations nationales et internationales, tant académiques qu’industrielles et concoure fortement à la formation des étudiants en Sciences de la Terre.

 

Institut des sciences de l’évolution, Montpellier

Les recherches au sein de l’Institut des Sciences de l’Évolution de Montpellier (ISEM, CNRS – CIRAD – IRD – Université de Montpellier) concernent l’origine et la dynamique de la biodiversité, ainsi que les modalités et les mécanismes de son évolution. Les chercheurs de cette unité s’intéressent tant à la biodiversité actuelle que passée, étudient un large éventail d’organismes et de milieux et allient des approches de terrain, expérimentales et théoriques. Le questionnement scientifique et sociétal porte sur les réponses de la biodiversité (organismes et/ou communautés) vis-à-vis des changements planétaires et anthropiques

 

Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer (IFREMER)

IfremerL’Ifremer est l’Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer. Reconnu dans le monde entier comme l’un des tout premiers instituts en sciences et technologies marines, l’Ifremer s’inscrit dans une double perspective de développement durable et de science ouverte. Ses 1500 salariés mènent des recherches, produisent des expertises et créent des innovations pour protéger et restaurer l’océan, exploiter ses ressources de manière responsable, partager les données marines et proposer de nouveaux services à toutes les parties prenantes (https://wwz.ifremer.fr/).

 

Institut français des sciences et technologies des transports, de l’aménagement et des réseaux

institut francais sciences technologies transports Né le 1er janvier 2011 de la fusion de l’INRETS et du LCPC, l’IFSTTAR est un établissement public à caractère scientifique et technologique, placé sous la tutelle conjointe du Ministère de l’Environnement, de l’Énergie et de la Mer et du ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche. L’IFSTTAR conduit des travaux de recherche finalisée et d’expertise dans les domaines des transports, des infrastructures, des risques naturels et de la ville pour améliorer les conditions de vie de nos concitoyens et plus largement favoriser un développement durable de nos sociétés.

Institut Jean-Pierre Bourgin, Centre de Versailles Saclay

institut jean pierre bourginLes équipes de recherche de l’Institut Jean-Pierre Bourgin (Inra, AgroParistech) focalisent leur attention sur divers aspects essentiels du fonctionnement des plantes, en lien avec les productions végétales et l’agriculture durable. L’unité s’intéresse notamment à l’évolution et au fonctionnement des génomes, à la réponse des plantes aux stress qu’elles subissent dans leur environnement et à certains aspects fondamentaux actuels de la biologie et de la chimie végétale, de la cellule à la plante. Les travaux de l’unité s’organisent autour de cinq pôles scientifiques : Adaptation des plantes à leur environnement ; Dynamique et expression des génomes ; Morphogenèse, signalisation, modélisation ; Paroi végétale, fonction et usage ; Reproduction et graines. L’unité abrite trois plateformes (cytologie et imagerie végétale ; chimie du végétale et biochimie) regroupées au sein d’un Observatoire du végétal et deux collections de ressources végétales (Arabidospsis thaliana et Brachypodium distachyon).

 

Institut national de la recherche agronomique (INRA)

INRAL’URZF est une unité de recherche appartenant au département « Ecologie des Forêts, Prairies et milieux Aquatiques » de l’INRA. Ses travaux portent sur l’étude de la réponse des écosystèmes aux changements globaux, afin de comprendre les mécanismes qui régissent les populations d’insectes (principalement forestiers) invasifs ou en expansion sous l’effet des activités humaines et des changements environnementaux. Pour développer ses recherches, l’URZF associe des entomologistes, des écologistes, des biologistes moléculaires et des modélisateurs. In fine, ces recherches visent à élaborer des outils permettant la gestion des organismes considérés dans un contexte de réchauffement climatique et mondialisation accélérée.

 

Institut Sophia Agrobiotech

L’Institut Sophia Agrobiotech (ISA) du Centre INRA de Sophia Antipolis regroupe 140 agents INRA, Université Nice Sophia Antipolis et CNRS qui mènent des recherches en lien avec la santé des plantes et l’environnement. L’UMR ISA développe des programmes de recherche en vue de réduire la dépendance de l’agriculture à l’égard de la phytoprotection chimique et des engrais industriels, tout en préservant sa compétitivité. Ces recherches ont pour objectif de comprendre les mécanismes moléculaires des plantes qui déterminent l’établissement et le devenir d’interactions avec leurs partenaires biotiques (bioagresseurs d’importance agronomique : nématodes, oomycètes et insectes ou bactéries symbiotiques). Au sein de l’ISA, les travaux de l’équipe « Symbiose et état redox de la cellule » visent à étudier le rôle de l’état redox dans l’établissement, le fonctionnement et la sénescence de la symbiose fixatrice d’azote entre les légumineuses et les bactéries du sol de type rhizobium. A travers différents partenariats avec les pays du Maghreb, l’équipe Symbiose développe également des programmes de recherche sur l’adaptation des légumineuses cultivées aux contraintes environnementales telles que la sècheresse, la salinité, ou les inondations.

 

Institut de la Transition Environnementale, Paris

Face à l’intensité et à l’accélération des changements globaux qui affectent les écosystèmes et la biosphère, donc nos sociétés, l’Institut de la transition environnementale Sorbonne Université (SU-ITE) vise à contribuer dans la durée à la transition environnementale en constituant une plateforme d’interactions entre sciences et société. Les pistes et solutions explorées dans les multiples projets, textes et vidéos proposés sur cette plateforme sont scientifiques et techniques, interdisciplinaires, mais aussi sociétales, politiques et organisationnelles.

 

 

Institut Weizmann des Sciences, Rehovot, Israël

L’Institut Weizmann des Sciences est une université de recherche fondée en 1934 et située à Rehovot, au sud de Tel Aviv en Israël. L’institut Weizmann est spécialisé dans la formation des masters (graduate students), des doctorats (PhD students) et des post-doctorats (postdoctoral researchers) dans les sciences exactes et naturelles. Il est l’un des principaux centres mondiaux de recherche multidisciplinaires avec près de 3 800 scientifiques, étudiants, techniciens et assistants. L’institut est composé de 5 facultés (biochimie, biologie, chimie, mathématiques & informatique, et physique), 17 départements, 50 centres de recherche multidisciplinaire et 260 laboratoires. En 2019, l’Institut Weizmann a été classé 3e meilleur institut de recherche au monde par la revue Nature dans son nouveau « index standardisé » qui prend en compte la qualité de la recherche (nombre de citations dans des revues à fort impact en proportion du nombre d’articles publiés)

 

IRISSO, Paris

IRISSOL’IRISSO est une Unité Mixte de Recherche du CNRS et de l’INRA, associée à l’Université Paris-Dauphine/PSL qui comprend des sociologues, des politistes et des économistes. Né de la fusion de l’Institut de recherche interdisciplinaire en sociologie, science politique et économie (IRISES) et du Centre d’études et de recherche en sociologie des organisations (CERSO), l’IRISSO a intégré une nouvelle composante en 2015 : le Laboratoire de communication politique (LCP). Les chercheurs et gestionnaires administratifs de l’unité RiTME (Risques, travail, marchés, État) de l’INRA ont également rejoint l’IRISSO en 2017.

 

Laboratoire 3SR, Grenoble

Logo 3SRLe laboratoire 3SR est issu des grands laboratoires de mécanique et d’hydraulique de la région grenobloise de l’après seconde guerre mondiale, catalysés par le développement de l’énergie hydraulique. Il mène des recherches de pointe en mécanique des solides, dans les domaines de l’ingénierie des structures, des ouvrages et des matériaux pour le génie civil, de l’énergie, du transport et de la santé. C’est une unité mixte de recherche (UMR 5521) entre le CNRS (INSIS), l’Université Grenoble Alpes et Grenoble INP. Les recherches s’appuient à la fois sur l’expérimentation et sur la modélisation, à l’échelle du matériau comme à celle de l’ouvrage. Les études expérimentales sont conduites pour comprendre, analyser, et nourrir la mise au point de modèles théoriques et numériques prenant en compte les couplages physico-mécaniques et les analyses multi-échelles. Les domaines de recherche abordés sont essentiellement :

– les risques environnementaux et technologiques (stockages souterrains et de surface), les risques gravitaires et sismiques de surface, les effondrements souterrains et la pérennité des ouvrages sensibles pourvoyeurs d’énergie,
– le comportement mécanique des systèmes et milieux solides complexes (granulaires, poreux, enchevêtrés, renforcés, biologiques et bio-inspirés) ainsi que la tenue en service des structures et des géo-ouvrages (notamment sous chargement cyclique).

Le Laboratoire 3SR est doté d’installations expérimentales originales, souvent uniques au plan international, en mécanique des matériaux, des géo-matériaux et des ouvrages. En termes de modélisation, le laboratoire dispose d’outils novateurs et réputés, traitant aussi bien les aspects à l’échelle micro (les grains par exemple) du comportement qu’ à l’échelle macroscopique (grand volume de grains, de fibres, massif de sol ou rocheux fissuré). L’effectif du laboratoire 3SR s’élève à 130 personnes environ, pour moitié chercheurs ou enseignants chercheurs ou techniciens, et pour l’autre moitié doctorants, post-doctorants, visiteurs et stagiaires.

 

Laboratoire d’Aérologie (LA), Toulouse

Encyclopédie de l'environnement - logo laboratoire d'aérologie3 axes de recherches structurent l’activité du Laboratoire d’Aérologie :

  • Les processus dynamiques, thermodynamiques et microphysiques qui gouvernent l’atmosphère météorologique, de la petite échelle (convection nuageuse ou couche limite) à celle des perturbations synoptiques, aux latitudes moyennes et tropicales.
  • La physico-chimie de la troposphère et de la basse stratosphère avec la production naturelle et anthropique, le transport, les flux aux interfaces, l’évolution et l’impact d’espèces chimiques gazeuses et particulaires, avec des développements plus spécifiques concernant d’une part l’ozone, d’autre part les oxydes d’azote, les composés organiques volatils et les aérosols carbonés.
  • L’océanographie côtière dans ses aspects dynamiques relatifs à la circulation générale, aux forçages et aux perturbations internes ; biogéochimiques avec les cycles associés des principaux éléments ; climatique vers l’étude de l’impact du changement global.

 

Laboratoire de Biochimie et Physiologie Moléculaire des Plantes (B&PMP), Montpellier

logo b&pmpL’Unité Mixte de Recherche Biochimie et Physiologie Moléculaire des Plantes (INRA, CNRS, Université Montpellier 2, SupAgro) créée il y a une trentaine d’années, travaille à l’identification des mécanismes moléculaires de la nutrition hydrominérale des plantes, et à l’analyse de leur intégration dans l’organisme entier. L’accent est mis sur : (i) les transports membranaires et à longue distance d’eau et d’ions (nitrate, potassium, phosphate, fer, zinc, etc…), (ii) le stockage et le métabolisme des éléments minéraux, (iii) les signalisations assurant la régulation de ces processus, (iv) le contrôle du développement en réponse aux fluctuations des disponibilités en eau et en ions minéraux.
Un objectif majeur est de déterminer le rôle intégré des mécanismes moléculaires mis en évidence dans l’adaptation des plantes aux contraintes abiotiques de l’environnement (stress hydrique, stress salin, carences minérales, toxicité métallique). Les modèles végétaux sont surtout les plantes modèles (Arabidopsis thaliana, Medicago truncatula…), avec des approches concernant des espèces d’intérêt agronomique (riz, vigne), et les symbioses (mycorhizes, légumineuses). Les démarches sont celles de la Biologie Intégrative, et font une large place à la génomique (transcriptome, protéome, modélisation des réseaux géniques) et au phénotypage fonctionnel (électrophysiologie, isotopes, hydraulique, imagerie) ou du développement (architecture racinaire).

 

Laboratoire de Biodiversité et Biotechnologies microbiennes (LBBM), Paris

Le Laboratoire de Biodiversité et Biotechnologies Microbiennes (LBBM) est une Unité Mixte de Service et Recherche (USR3579) de Sorbonne Université et du CNRS. Ses activités participent à la connaissance sur la biodiversité et le rôle fonctionnel des microorganismes en se focalisant sur les systèmes aquatiques (marins, maritimes, continentaux). Notre objectif est de mieux comprendre comment les facteurs biotiques et abiotiques régulent l’activité et la diversité des microorganismes dans les environnements aquatiques. Une part importante de notre activité est également dédiée à la valorisation des connaissances issues de ces recherches (potentiel biotechnologique de notre collection de micro-organismes, développement d’outils de diagnostic…). Cette activité s’appuie sur de nombreux partenariats industriels et avec les collectivités territoriales. Le LBBM fédère des compétences en écologie microbienne, en microbiologie, en écologie chimique, en biotechnologie, et en pharmacologie exploratoire.

 

Laboratoire de Biométrie et de Biologie Évolutive (LBBE), Villeurbanne

lbbeCe laboratoire a été créé en 1962 par Jean-Marie Legay pour créer un secteur biométrique à l’Université, réservé alors à l’INRA. D’ailleurs, Jean-Marie Legay venait de cet institut. Progressivement, le laboratoire a intégré la modélisation et a été l’un des principaux inventeurs de la bioinformatique. Simultanément, des composantes biologiques et écologiques ont émergé, assurant une continuité entre aspects méthodologiques et leurs domaines d’utilisation (évolution moléculaire, écologie quantitative, dynamique des population, biomédecine). Simultanément, les dimensions pédagogiques ont été développés dans les divers niveaux universitaires. Cette double continuité a conduit la communauté nationale et internationale à identifier une « école lyonnaise » de biométrie. Il a été associé au CNRS dès 1966. Cette politique a été poursuivie par les directions successives. L’effectif initial (1962) était d’une demi-douzaine d’enseignants-chercheurs, aujourd’hui il est de plus de 122 permanents et du même ordre pour les doctorants.

 

Laboratoire Eau Environnement et Systèmes Urbains (LEESU), Créteil

laboratoire eau environnement systemes urbains - leesu - parisLe Leesu (Laboratoire Eau Environnement et Systèmes Urbains à l’Ecole Nationale des Ponts et Chaussées) est un laboratoire interdisciplinaire de recherche public sous la tutelle de l’université Paris-Est Créteil, l’École des Ponts ParisTech et l’AgroParisTech, dont l’objet est la gestion socio-technique des eaux urbaines. Les études qu’il conduit, en partenariat notamment avec les collectivités territoriales, visent en effet à promouvoir l’innovation dans ce domaine et à caractériser les conditions d’une appropriation réussie par les usagers. Il s’est ouvert aux enjeux de l’économie circulaire dans les milieux urbains.

 

Laboratoire d’Écologie Alpine (LECA), Grenoble

logo LECALe Laboratoire d’Écologie Alpine est une Unité Mixte de Recherche (UMR 5553) associant des chercheurs du CNRS, de l’Université Grenoble Alpes et de l’Université de Savoie. Le but des recherches de l’unité est de comprendre le fonctionnement des écosystèmes et le maintien de la biodiversité et de prédire leur réponse aux changements en utilisant des concepts et des méthodes issus de disciplines telles que l’écologie et la biologie évolutive. Le LECA développe une recherche intégrée allant des mécanismes moléculaires de l’adaptation jusqu’à l’impact global de l’environnement physique sur le fonctionnement des écosystèmes et le maintien de la biodiversité.

 

Laboratoire d’Informatique et Systèmes (CNRS), Aix-Marseille

Le LIS (Laboratoire d’Informatique et Systèmes) est une Unité Mixte de Recherche (UMR) sous tutelles du Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) -rattachée à l’Institut des sciences de l’information et de leurs interactions (INS2I)-, de l’Université d’Aix-Marseille (AMU) et de l’Université de Toulon (UTLN). Le LIS mène des recherches fondamentales et appliquées dans les domaines de l’informatique, de l’automatique, du signal et de l’image. Il est composé de 20 équipes de recherche et structuré en 4 pôles : le pôle Calcul, le pôle Sciences des Données, le pôle Analyse et Contrôle des Systèmes et le pôle Signal et Image. L’équipe DYNI (DYNamiques de l’Information) se spécialise dans l’Intelligence Artificielle et la représentation de l’information. Elle tente de couvrir toute la chaîne de traitement et de transmission des données des capteurs aux usagers. Ces recherches sont appliquées sur des domaines interdisciplinaires : la bioacoustique sous-marine et terrestre, l’astrophysique, l’analyse de scènes audiovisuelles, la reconnaissance et la recherche d’information dans des documents.

 

Laboratoire Dynamiques Sociales et Recomposition des Espaces (LADYSS), Paris

Le LADYSS est un laboratoire pluridisciplinaire (géographie, économie, sociologie, anthropologie) dédié à l’analyse croisée des dynamiques sociales et de la recomposition des espaces. Les enjeux environnementaux occupent une large place dans les recherches de ces membres. L’atelier 5 réunit notamment les chercheurs travaillant sur le vivant (faune, flore) en lien avec les territoires, autour de questions à l’articulation entre fonctionnement écologique et enjeux sociaux. L’objectif est d’évaluer l’état de la biodiversité via le développement d’indicateurs et de s’interroger sur les modalités d’appropriation des connaissances entre les acteurs scientifiques et les acteurs locaux afin de concevoir des politiques environnementales plus participatives.

 

Laboratoire Écologie, Systématique, Évolution, Paris-Sud

logo eseL’unité Ecologie, Systématique et Evolution (ESE), UMR 8079 – Université Paris-Sud / CNRS / AgroParisTech, conduit des recherches en écologie et évolution qui visent à étudier l’origine et la dynamique de la biodiversité ainsi que l’évolution et le fonctionnement des écosystèmes. Les approches menées pour ces objectifs reposent sur une synergie entre observations in situ, expérimentation, et modélisation mathématique en tant qu’outil de compréhension, de synthèse et de projections. Une partie des recherches de l’unité sont en lien étroit avec des préoccupations sociétales. En effet, ces recherches ont pour objectif finalisé de contribuer à fournir des outils d’aide et de décisions aux gestionnaires de la biodiversité et des socio-agro-éco-écosystèmes. L’étude des conséquences des changements globaux, notamment climatiques, sur les populations, les communautés et les écosystèmes et leur réponse à ces changements est une thématique transversale dans l’unité ESE. Elle consiste notamment en l’étude des processus d’adaptation génétique et phénotypiques mis en jeux mais aussi des modalités de la mise en œuvre des mesures de gestion via les politiques publiques. Dans le cadre de leurs recherches, les chercheurs et enseignants-chercheurs de l’unité nouent de nombreuses interactions au sein de réseaux avec d’autres équipes d’écologues et d’évolutionnistes au niveau local (dans le cadre de la FR3284-IDEEV, des unités de Paris Centre), et au niveau national (des GDR notamment) et international. Ces interactions sont aussi ouvertes aux chercheurs d’autres disciplines, notamment les chercheurs des sciences humaines et sociales, ceci afin d’augmenter notre capacité à répondre à différents enjeux sociétaux. Le LABEX BASC dans lequel l’unité est impliquée facilite les échanges avec les chercheurs des sciences humaines mais aussi avec les spécialistes des sciences du climat et les agronomes pour répondre à des enjeux de durabilités des socio-agro-éco-écosystèmes.

 

Laboratoire des Écoulements Géophysiques et Industriels (LEGI), Grenoble

logo legiLe LEGI, rattaché à la Communauté Université de Grenoble Alpes, rassemble plus de 150 personnes dont 60 permanents, et autant de doctorants et post-doctorants. Les activités de recherche combinent modélisation, expérimentation et simulation numérique à hautes performances en mécanique des fluides. Ces activités combinent des études très fondamentales sur la turbulence à de nombreux domaines d’application relevant de problématiques environnementales aussi bien qu’industrielles, telles que le traitement des eaux, l’énergie hydraulique ou éolienne, le stockage d’hydrogène. L’équipe MEIGE (Modélisation, Expériences et Instrumentation pour la Géophysique et l’Environnement) étudie plus particulièrement la dynamique des  milieux  naturels comme l’océan, l’atmosphère, les fleuves et les zônes côtières. L’équipe s’intéresse ainsi aux problèmes d’érosion du littoral et de transport sédimentaire, de pollution atmosphérique en relief complexe, et à la dynamique des ondes et turbulence en milieu stratifié en densité. Plusieurs tables tournantes, dont la grande plateforme « Coriolis » de 15 m de diamètre, permettent de reproduire les effets de Coriolis en laboratoire.

 

Laboratoire Environnement, Ville Société du CNRS, Lyon

laboratoire environnement ville societe CNRS lyonLe laboratoire EVS rassemble près de 150 permanents et  140 doctorants, des communautés de chercheurs appartenant aux établissements d’enseignement et de recherche du pôle Lyon Saint-Etienne et travaillant dans le domaine des sciences des territoires et de l’environnement (géographie, ingénierie, urbanisme, droit de l’environnement, architecture).

Les chercheurs du laboratoire « Environnement Ville Société » traitent des modalités par lesquelles les sociétés contemporaines et passées aménagent et ménagent leurs environnements. Ces modalités sont observées sous l’angle du changement, de l’action, de la transformation, de l’évolution, du devenir. Les questions relatives aux « transitions », au « changement global » sont abordées comme modalités de l’appropriation mutuelle du monde et des sociétés en considérant ensemble des dimensions qui apparaissent de fait strictement inséparables : sociale, territoriale, environnementale, écologique ; dimensions qui sont autant de manifestations du même  monde et de son état dans un temps « t » de son histoire.

Le laboratoire est organisé en 8 ateliers qui constituent autant de polarités de recherche autour des dynamiques du changement et des enjeux territoriaux et environnementaux associés. L’atelier 5 par exemple porte sur  « Changements environnementaux : mesure et appréciation des changements environnementaux (fréquence, intensité, magnitude), approches fonctionnelles et multi-temporelles » et l’atelier 8 « Recherches géomatiques. Méthodes, modèles et systèmes spatio-temporels, environnement et société ».

 

Laboratoire Environnements, DYnamiques et TErritoires de la Montagne (EDYTEM), Université Savoie Mont-Blanc

logo edytemCréé en 2003, EDYTEM est une unité mixte de recherche de l’Université Savoie Mont Blanc et du CNRS. Il est né de la volonté de rassembler des chercheurs en géosciences(géologie, hydrogéologie, géomorphologie) et en sciences humaines et sociales (géographie) dans le but de résoudre, par une vision transdisciplinaire, les problématiques environnementales et sociétales propres aux zones de montagne.Elle occupe aujourd’hui une place forte et originale, entre géosciences et sciences de l’Homme et de la société, dans le domaine des sciences de l’environnement et plus particulièrement dans l’institut écologie et environnement (INEE) du CNRS et du pôle Physique Astrophysique Géosciences Environnement (PAGE) de la COMUE université Grenoble Alpes (CUGA).

 

Laboratoire Epigénétique et Signalisation Cellulaire, Institut Albert Bonniot, Grenoble

logo iabLa recherche de l’équipe dirigée par Saadi Khochbin au sein de l’IAB (Institut Albert Bonniot, Centre de recherche Université Grenoble Alpes, Inserm U1209, CNRS UMR 5309) vise à comprendre comment le génome communique avec son environnement proche ou distant pour contrôler ses fonctions. Les découvertes de cette équipe vont de l’identification et la caractérisation fonctionnelle de nouvelles enzymes régulant les modifications chimiques des histones, des modifications chimiques d’histone elles-mêmes, des facteurs reconnaissant les histones modifiées et des variants d’histone. Dans ce contexte, l’équipe a développé une ligne de recherche originale visant à la compréhension des mécanismes moléculaires impliqués dans la programmation du génome mâle, un processus obscur mais fondamental et conservé. Cette recherche non seulement dévoile les bases moléculaires de l’établissement de l’épigénome mâle, mais aussi génère d’importants nouveaux concepts applicables à l’épigénétique et à la biologie de la chromatine en général. Ce programme de recherche a également conduit à des applications inattendues dans le domaine du cancer. Une recherche d’envergure est en développement dans ce laboratoire, révélant d’ors et déjà de nouveaux mécanismes oncogéniques, des biomarqueurs puissants, ainsi que de nouvelles cibles thérapeutiques. Toute cette activité de recherche est menée sur la base de collaborations internationales importantes et d’approches multidisciplinaires, incluant la biologie structurale, la protéomique, la génomique, la chimique biologique et une expertise clinique. Ceci est attesté par les publications coordonnées par cette équipe, témoignant de l’effort collaboratif de plusieurs laboratoires internationaux de premier rang.

 

Laboratoire Évolution Paris Seine

universite cote azur - laboratoire evolution paris seine - encyclopedie environnement Le laboratoire Evolution Paris-Seine (UMR 7138) est constitué de 7 équipes de recherche et d’une plateforme, ce qui représente 32 chercheurs ou enseignants-chercheurs, 18 ingénieurs ou techniciens, et 19 doctorants ou positions post doctorales. Le laboratoire s’intéresse principalement à la compréhension des mécanismes moléculaires de l’évolution. Au travers d’outils modernes de la biologie, le laboratoire entreprend de comprendre comment les organismes interagissent avec leurs milieux, à une échelle tant adaptative qu’évolutive. Du fait des thèmes étudiés dans l’unité, l’étude de la biodiversité, et en particulier, les mécanismes à son origine, sont étudiés à tous les niveaux possibles, des gènes aux génomes, des cellules aux organismes, ou encore des populations aux espèces. Chaque équipe favorise l’un de ces niveaux, mais toujours dans le but de parvenir à une vision intégrée des processus adaptatifs et évolutifs. Différents organismes sont étudiés, tels que les cténophores, les cnidaires, les crustacés, les mollusques ou les vertébrés, chez les eucaryotes et, les bactéries aussi bien que les archées chez les procaryotes. Cette diversité d’organismes est associée à une diversité d’écosystèmes, parmi lesquels la côte Antarctique, la mangrove et la côte Méditerranéenne.

 

Laboratoire de Génétique, Reproduction et Développement (GreD), Clermont-Ferrand

Encyclopédie environnement - Institution - logo GreDLe Laboratoire de Génétique de l’Université Blaise Pascal à Clermont-Ferrand a été créé en 1967 par la venue, depuis Orsay, de Ph. L’Héritier, J-C Bregliano, et Annie Fleuriet. Il s’est rapidement étoffé par le recrutement de chercheurs et d’enseignants-chercheurs. Grâce au regroupement de ce laboratoire avec d’autres équipes locales, il est créé en 1983 une Unité de Recherche Associée au CNRS regroupant 6 laboratoires et une cinquantaine de chercheurs. A partir de 1991, cette unité est devenue Unité Mixte de Recherche puis, en 2008, « Laboratoire de Génétique, Reproduction et Développement » (GreD), associé au CNRS et à l’INSERM, avec 10 équipes regroupant 130 personnes toutes catégories confondues.

 

Laboratoire de Géologie de Lyon : Terre, Planète, Environnement, Lyon

Encyclopédie environnement - logo LGLLe Laboratoire de Géologie de Lyon : Terre, Planète, Environnement (LGL-TPE, UMR 5276 CNRS) associe les équipes de recherche de l’École Normale Supérieure de Lyon et de l’Université Claude Bernard-Lyon 1 dans le domaine des sciences de la Terre et du système solaire. Ce laboratoire est regroupé avec le Centre de Recherche Astrophysique de Lyon dans l’Observatoire de Lyon. Issus du regroupement des « géologues » de deux laboratoires différents, et comptant 140 personnes, le  LGE-TPE s’occupe de très nombreux domaines des sciences de la Terre et du système solaire : jeune Terre et évènements précoces dans le système solaire, structure et minéralogie de l’intérieur de la Terre, géologie des surfaces planétaires, formation des chaînes de montagne, vie primitive et biosignatures, paléoenvironnement …

 

Laboratoire de pollution atmosphérique (INRA), Nancy

Au sein du Centre de Recherches Forestières de l’INRA-Nancy, le laboratoire Pollution Atmosphérique a été chargé de recherches écotoxicologiques sur les effets  des polluants de l’air sur la végétation française, en métropole et hors métropole. Il faut rappeler que ce laboratoire INRA, seul laboratoire français travaillant depuis 1975 à 100 % de son temps sur les effets de la pollution atmosphérique sur les végétaux, a été amené de ce fait à exercer ses activités scientifiques et ses recherches dans 3 domaines :

  • Un domaine de recherches fondamentales sur l’impact physiologique des différents polluants de l’air sur les végétaux. Ces recherches fondamentales sont ont été orientées vers la bio-indication végétale de la pollution atmosphérique (pluies acides, ozone, composés azotés, métaux lourds, composés organiques, etc.…) pour caractériser et cartographier  celle-ci.
  • Un domaine de recherches finalisées et de transfert en collaboration avec de nombreux autres laboratoires français et étrangers, ceci afin d’étudier les causes et les conséquences pour les milieux (naturels, anthropisés), des pollutions atmosphériques présentes sur le terrain.
  • Un domaine d’expertises et de vulgarisation où les compétences du laboratoire ont été utilisées dans le cadre d’expertises et de consultances, de conférences, d’enseignements, de formations, de documentation, de participation à des salons et à des expositions, etc.…

 

Laboratoire Évolution Paris-Seine

universite cote azur - laboratoire evolution paris seine - encyclopedie environnement Le laboratoire Évolution Paris-Seine (UMR 7138) est constitué de 7 équipes de recherche et d’une plateforme, ce qui représente 32 chercheurs ou enseignants-chercheurs, 18 ingénieurs ou techniciens, et 19 doctorants ou positions post doctorales. Le laboratoire s’intéresse principalement à la compréhension des mécanismes moléculaires de l’évolution. Au travers d’outils modernes de la biologie, le laboratoire entreprend de comprendre comment les organismes interagissent avec leurs milieux, à une échelle tant adaptative qu’évolutive. Du fait des thèmes étudiés dans l’unité, l’étude de la biodiversité, et en particulier, les mécanismes à son origine, sont étudiés à tous les niveaux possibles, des gènes aux génomes, des cellules aux organismes, ou encore des populations aux espèces. Chaque équipe favorise l’un de ces niveaux, mais toujours dans le but de parvenir à une vision intégrée des processus adaptatifs et évolutifs. Différents organismes sont étudiés, tels que les cténophores, les cnidaires, les crustacés, les mollusques ou les vertébrés, chez les eucaryotes et, les bactéries aussi bien que les archées chez les procaryotes. Cette diversité d’organismes est associée à une diversité d’écosystèmes, parmi lesquels la côte Antarctique, la mangrove et la côte Méditerranéenne.

 

Laboratoire de Glaciologie et Géophysique de l’Environnement (LGGE), Grenoble

logo_lggeLe Laboratoire de Glaciologie et Géophysique de l’Environnement (LGGE, UMR 5183), crée en 1958, rassemble environ 150 personnes autour de recherches sur la neige et la glace, les glaciers, le climat – atmosphère, glace et océan – et l’environnement.
En plus de 50 ans, le LGGE a bâti sa renommée scientifique sur l’étude du climat et de la composition de l’atmosphère. Ces études portent sur le présent mais aussi sur les évolutions passées au travers des archives que constituent la neige et la glace accumulées au cours du temps. Cependant le LGGE possède d’autres savoirs-faire très compétitifs centrés sur la neige et la glace, comme l’étude physique et mécanique du matériau glace, les échanges chimiques air-neige ou encore l’acquisition de données sur le terrain et par satellite. Les recherches menées allient des développements technologiques et analytiques à une approche de modélisation numérique touchant à des domaines variés, de l’atmosphère aux écoulements des masses de glace, et, plus récemment, à l’océan. Les régions polaires Antarctique et Arctique sont des terrains d’action privilégiés mais l’expérience du LGGE s’étend aussi aux zones de montagne (étude des glaciers alpins, andins et himalayens, pollution des vallées alpines) et aux océans (rôle de l’océan dans les équilibres climatiques, prévision à moyen terme des circulations océaniques). Ces études contribuent à la compréhension d’importants problèmes scientifiques qui sont souvent des enjeux de société tels que l’effet de serre, la variabilité du climat et de l’environnement, le bilan de masse de la cryosphère et le niveau des mers, la pollution à l’échelle globale et régionale, ou encore les risques glaciaires.

 

Laboratoire de Recherche Historique Rhône-Alpes

larra - laboratoire historique recherche rhones alpesCréé en 2002, le Laboratoire de Recherche Historique Rhône-Alpes (UMR 5190) est une Unité Mixte de Recherche du CNRS, sous la tutelle des Universités Lumière-Lyon 2, Jean Moulin-Lyon 3, Grenoble Alpes et de l’ENS de Lyon. Il est composé de 6 chercheurs CNRS, 79 enseignants-chercheurs, 14 ingénieurs, techniciens et administratifs, 3 post-docs et chargés d’études, 140 doctorants et 97 associés.

Il est organisé en six axes : Action publique et mondes urbains, « Art, images, sociétés » ; « Genre » ; « Religions et croyances »; « Savoirs. Acteurs, dynamiques, espaces«  ; « Territoires, économie, enjeux sociétaux » . Et 3 transversalités : « Atelier Images, sons mémoires » ; « Atelier Sociétés en guerre »  ; « Pôle histoire numérique ».

Le LARHRA est spécialisé en histoire et en histoire de l’art, pour les périodes moderne et contemporaine. De la première modernité au temps présent, l’expertise du LARHRA couvre des aires géographiques et thématiques diverses, de l’Amérique Latine au Maghreb et au Proche-Orient, en passant par la France et l’Europe occidentale au sens large : de l’histoire de l’entreprise à l’Inquisition, des mobilités urbaines aux études de genre, de l’architecture aux arts décoratifs , des savoirs médicaux à l’enseignement technique, du territoire et de l’environnement aux syncrétismes religieux, des constructions mémorielles et patrimoniales aux médias contemporains, etc.

Laboratoire généraliste par la diversité de ses thématiques, il partage une même approche centrée sur les acteurs en prenant en compte toutes les dimensions du social et à la convergence des héritages de la recherche en histoire et en histoire de l’art à Lyon et à Grenoble depuis plus d’un demi-siècle. Il participe aux renouvellements méthodologiques de la recherche historique induits par le développement des technologies numériques, en centrant sa recherche dans ce domaine sur la structuration et la modélisation de la donnée, en conformité aux principes FAIR.

 

Laboratoire des Sciences de l’Environnement Marin (LEMAR)

LEMARLe LEMAR, Laboratoire des Sciences de l’Environnement Marin (UMR 6539 UBO/CNRS/IRD/IFREMER), est un laboratoire résolument interdisciplinaire qui regroupe des écologistes, des biologistes, des biogéochimistes, des chimistes, des physiciens et des juristes de l’environnement marin. Ses objectifs sont (1) de conduire des travaux sur des thématiques de recherche fondamentale ou d’importance sociétale ; (2) de contribuer à atteindre les objectifs du développement durable dans les pays du Nord comme du Sud ; (3) d’apporter des innovations en lien avec le monde économique et des résultats venant en appui aux politiques publiques ; (4) de s’engager dans les formations interdisciplinaires du domaine des sciences de la mer et du littoral.

 

Laboratoire des Sciences du Climat et de l’Environnement (LSCE)

Le LSCE est une unité mixte de recherche (UMR 8212) entre le CEA, le CNRS et l’Université de Versailles Saint-Quentin (UVSQ), localisé sur deux sites (Campus du CEA-Orme des Merisiers et du CNRS Gif-sur-Yvette). Il fait partie de l’Institut Pierre Simon Laplace (IPSL).  Le LSCE regroupe environ 300 chercheurs, ingénieurs et agents administratifs dont 150 personnels permanents issus des 3 tutelles et plusieurs dizaines d’étudiants thésitifs. Depuis janvier 2015, le LSCE s’organise en trois thèmes scientifiques : (i) Archives et Traceurs (ii) Cycles Biogéochimiques et Transferts dans l’Environnement (iii) Climat et Cycles – Modélisation de leurs variabilités et de leurs interactions. Chacun de ces thèmes regroupe entre 4 et 7 équipes de recherche constituées autour d’outils et/ou sujets de recherche communs.

 

Laboratoire d’Hydraulique Environnementale (LHE), Lausanne, Suisse

l'École Polytechnique Fédérale de Lausanne logoLe Laboratoire d’Hydraulique Environnementale (LHE) est un laboratoire de l’École Polytechnique Fédérale de Lausanne (EPFL). Créé en 1928 par Alfred Stucky (avec le nom de Laboratoire d’Essais Hydrauliques), il a longtemps été un centre de recherches tourné vers l’hydraulique des grands ouvrages hydroélectriques. Avec l’arrivée du professeur Walter Graf en 1973, l’accent a été mis sur la compréhension des phénomènes hydrodynamiques dans l’environnement. Actuellement,  les recherches du LHE sont centrées sur le transport de particules dans un fluide et la dynamique des écoulements. Les applications environnementales ont principalement trait aux problèmes rencontrés dans les Alpes (transport de sédiment, écoulements rapides tels qu’avalanches et laves torrentielles). Les applications industrielles concernent le transport de matériaux granulaires ou pâteux.

 

Laboratoire HydroSciences Montpellier (HSM)

logo hydosciences montpellierLe Laboratoire HydroSciences Montpellier (HSM, www.hydrosciences.org) est une unité mixte de recherche (UMR 5569) (IRD, CNRS et Université de Montpellier), rattaché à l’Observatoire des Sciences de l’Univers – Observatoire de Recherche Méditerranéen de l’Environnement (OSU OREME). HSM est totalement investi dans des recherches en sciences de l’eau qui couvrent des domaines allant de la biogéochimie aux événements extrêmes en passant par les eaux souterraines, l’étude du cycle hydrologique et les pathogènes hydriques et les enjeux de santé associés.HSM réalise l’essentiel de son activité scientifique dans les régions méditerranéennes et tropicales, avec une forte implication dans le Laboratoire Mixte International PICCASS-EAU, les observatoires (AMMA-CATCH, KARST, RBV, GLACIOCLIM, OHM) et l’Equipex CRITEX.

 

Laboratoire Interdisciplinaire de Physique (LIPhy), Grenoble

Logo LIPhyLe LIPhy ainsi nommé en 2011 est directement issu du « Laboratoire de Spectrométrie Physique » créé en 1966. Ce laboratoire est une unité mixte de recherche de l’UGA et du CNRS qui regroupe 55 chercheurs permanents, 33 techniciens et une cinquantaine d’étudiants en thèse et de post-doctorants. Il y a 7 équipes de recherche qui partagent trois grands thèmes d’activité : (i) La matière complexe avec des études expérimentales, théoriques  sur la matière molle ou amorphe (colloïdes, polymères, gels, etc). (ii) La biophysique avec  des travaux sur les propriétés physiques des cellules (mobilité, adhésion, contraction, etc), l’étude de suspensions de bio-fluides comme le sang  ainsi que l’analyse des processus d’information dans les systèmes vivants à l’échelle moléculaire et cellulaire. (iii) L’optique et ses applications avec le développement d’instruments très sensibles pour des mesures de spectre d’absorption de petites molécules en phase gazeuse très utiles en géophysique, en astrophysique et en médecine. De nouvelles méthodes d’imagerie sont également développées.

 

Laboratoire Interdisciplinaire des Environnements Continentaux (LIEC), Vandœuvre-lès-Nancy

liec encyclopedie environnementLe LIEC se positionne sur la thématique générale de l’étude des milieux très anthropisés, qu’ils soient terrestres ou aquatiques. La pluralité des compétences présentes dans l’unité permet de mener des approches de recherches pluridisciplinaires autour des processus écologiques et biogéochimiques et à différentes échelles. Les interactions entre spécialistes de la composante physico-chimique des milieux et des biologistes-écologues conduisent à la réalisation d’études intégrées des différents écosystèmes étudiés. L’objectif premier du LIEC est de comprendre le fonctionnement des écosystèmes continentaux fortement perturbés par l’activité humaine, avec pour finalité leur réhabilitation. Dans ce but, le LIEC met en oeuvre une recherche interdisciplinaire alliant les concepts et méthodes de la minéralogie environnementale, de la science du sol, de l’écologie microbienne, de la physico-chimie colloïdale, de l’écotoxicologie, de l’écologie fonctionnelle. Le LIEC est composé de 5 équipes : (1) Ecologie du stress, (2) Toxicologie de l’environnement, (3) Ecologie Microbienne des milieux anthropisés, (4) Physico-chimie et réactivité des surfaces et interfaces, (5) Cycles biogéochimiques dans les écosystèmes perturbés.

 

Laboratoire de Mécanique des Solides, Paris

laboratoire de mécaniques des solides Le Laboratoire de Mécanique des Solides est une Unité Mixte de Recherche sous tutelle de l’École Polytechnique, du CNRS et de l’École des Mines ParisTech.  Son domaine de recherche est la Mécanique des Milieux Continus, étudiée à diverses échelles, avec un triple point de vue théorique, expérimental et numérique. L’objectif du laboratoire est de proposer, construire, analyser et valider expérimentalement et numériquement des modèles thermodynamiquement cohérents permettant de répondre à de grands enjeux scientifiques et techniques dans les secteurs de l’énergie, du transport et de la mécanique pour le vivant. Le laboratoire est notamment  présent dans le domaine du stockage  souterrain, et en particulier l’étude du comportement à long terme et faible charge des géomatériaux concernés.

 

Laboratoire de Météorologie Dynamique (LMD)

Logo LMDLe Laboratoire de Météorologie Dynamique (LMD) a été créé en 1968 à l’initiative de Pierre Morel. Il est implanté sur trois sites universitaires : l’École Polytechnique à Palaiseau, l’École Normale Supérieure et l’Université Pierre et Marie Curie à Paris. Il compte un peu moins de 200 personnes, dont un quart de chercheurs et d’enseignants-chercheurs permanents, un quart d’ingénieurs, techniciens et administratifs, un quart de doctorants, et un quart de post-doctorants, visiteurs ou stagiaires. Ce laboratoire est membre de l’Institut Pierre Simon Laplace (IPSL), fédération de six laboratoires publics de recherche en sciences de l’environnement en Ile-de-France.
Le LMD étudie la dynamique de l’atmosphère et les processus atmosphériques, aussi bien sur la Terre que sur les autres planètes. Sur la Terre, le LMD s’intéresse entre autres à la variabilité du climat, à son évolution en lien avec les activités humaines, et à la pollution atmosphérique. Un fort accent est mis sur la compréhension des mécanismes physiques sous-jacents. Pour cela, le LMD développe à la fois des approches théoriques, des développements instrumentaux pour l’observation, et des modélisations numériques.

 

Laboratoire d’Optique Atmosphérique, Villeneuve d’Ascq

logo_loa1Le LOA est une unité Mixte de Recherches (UMR/CNRS 8518) dont les travaux portent sur la propagation dans l’atmosphère, de la lumière reçue du Soleil et de celle émise par les surfaces et l’atmosphère terrestres. Ces travaux s’insèrent dans l’étude globale du climat. Un premier objectif est de quantifier le rôle des rayonnements visible et infrarouge dans les échanges d’énergies de la planète, notamment de préciser le rôle des nuages dans le bilan radiatif de la Terre dont ils constituent un facteur essentiel. Un second axe de recherche porte sur la caractérisation à l’échelle du globe de paramètres directement reliés à l’évolution climatique (nuages, aérosols, surfaces), en utilisant l’observation satellitaire.
Les travaux menés dans ce contexte mettent en œuvre :

  • la conception de logiciels pour simuler le transfert du rayonnement, à l’aide de modèles du système terre – atmosphère ;
  • l’analyse d’observations acquises par les capteurs satellitaires existants et la conception de nouvelles expériences satellitaires ;
  • la réalisation de campagnes d’observations de terrain, en utilisant des appareillages développés par le laboratoire, mis en œuvre au sol ou à partir d’avions, afin de valider les modèles ou d’analyser des processus atmosphériques.

 

Laboratoire PACTE, Grenoble

logo pactePacte (Politiques publiques, ACtion politique, Territoires) est une unité mixte de recherche en sciences sociales qui rassemble des politistes, des géographes et des urbanistes, ainsi que des sociologues, des économistes, des juristes et des historiens du site grenoblois.
L’UMR réunit 120 chercheurs et enseignants-chercheurs permanents, 27 ingénieurs et techniciens, et 208 doctorants.
Pacte travaille les nombreuses facettes de l’émergence, l’institutionnalisation, l’évolution, la consolidation ou la remise en cause des politiques publiques, à toutes les échelles territoriales. Cette unité regroupe un grand nombre de chercheurs spécialisés sur l’action collective et ses interactions sociales. Sa large surface permet de faire émerger de nouvelles thématiques visant à la fois l’excellence dans les disciplines représentées et la fertilisation interdisciplinaire, notamment sur les questions environnementales.

 

Laboratoire de Physiologie Cellulaire et Végétale (LPCV), Grenoble

LEncyclopédie environnement - logo BIGe laboratoire de Physiologie Cellulaire et Végétale (LPCV) est une unité mixte du CNRS, du CEA, de l’INRA et de l’Université Grenoble Alpes. Fondé en 1979 sous l’impulsion du Professeur Roland Douce, le LPCV a été de façon ininterrompue un acteur majeur de la recherche en biologie végétale en France. Le LPCV est composé d’environ 110 personnes et comprend 8 équipes étudiant chacune un aspect singulier de ce qui fait la biologie des plantes, allant de la régulation de l’expression du génome (en particulier transcriptome et protéome chloroplastiques), au métabolisme (en particulier lipidique), à la physiologie, la photosynthèse enfin au développement (en particulier le développement floral et la morphogenèse cellulaire). Le LPCV est une des unités de l’Institut de Biosciences et Biotechnologies de Grenoble (BIG).

 

Laboratoire Science et Ingénierie des Matériaux et Procédés (SIMaP), Grenoble

logo SIMaPLe laboratoire résulte de la refondation de 3 unités en 2007, sous la triple tutelle de l’UGA, de Grenoble-INP et du CNRS. SIMaP rassemble approximativement 230 personnes, dont un tiers de chercheurs et enseignants-chercheurs, un cinquième d’ingénieurs techniciens et administratifs et une centaine de doctorants ou post-doctorants. Ce regroupement de physiciens, mécaniciens et chimistes des matériaux et des fluides étudie l’élaboration, la mise en forme, l’assemblage et les propriétés des matériaux à applications structurales et fonctionnelles en conjuguant expérimentation et modélisation, depuis l’échelle atomique jusqu’à l’échelle du procédé, en s’appuyant sur la mutualisation des plates-formes expérimentales d’élaboration et de caractérisation.
En se basant sur la compréhension fine des mécanismes, les chercheurs de SIMaP conçoivent et optimisent des procédés d’élaboration innovants. Ils améliorent les propriétés des matériaux existants  et élaborent les matériaux du futur. Cette stratégie de recherche couplant les briques élaboration – modélisation – caractérisation – propriétés d’usage est l’un des points forts du laboratoire qui s’est organisé pour que les différentes disciplines présentes soient interactives.

 

Laboratoire SMS-ID, Lyon

logo insa-lyonLe laboratoire SMS-ID a été créé en 2015 après la scission du laboratoire LGCIE de l’INSA de Lyon. Ce laboratoire est implanté dans les locaux de l’INSA de Lyon, Il est composé de trois équipes complémentaires : géotechnique, matériaux et structures. Parmi les orientations scientifiques privilégiées dans le laboratoire, le renforcement des sols est une des thématiques particulièrement étudiée. Les objectifs de cette recherche comportent une dimension applicative assumée, en cherchant à se placer au plus près des besoins industriels et sociétaux : formulations d’éco-matériaux, expérimentation à grande échelle pour les objets du génie civil, et mise en place de modèles numériques (méthode des éléments finis et discrets) capables de reproduire le comportement mécanique des structures de génie civil à l’échelle 1. En appui à ces recherches à vocation applicative, il est important de souligner l’émergence de thèmes de recherche plus amont tels que les approches de micromécaniques expérimentales et numériques. Un des points forts des travaux de recherche menés au laboratoire concerne la confrontation quasi systématique des résultats numériques aux essais généralement réalisés à différentes échelles au laboratoire. Ce dialogue expérience-modèle, qui tend à se généraliser dans les laboratoires de recherche est fondamentalement ancré dans la culture du laboratoire.

 

Laboratoire Sols & Environnement (LSE), Nancy

LSELes activités de recherche du Laboratoire Sols et Environnement (LSE) sont à caractère finalisé et sont axées sur l’ingénierie des sols très anthropisés, en réponse aux pressions anthropiques majeures qui s’exercent sur la ressource en sols et dans le contexte des services écosystémiques potentiellement rendus en particulier par les sols urbains, miniers et industriels. L’unité mixte de recherche sous la tutelle de l’INRAE et de l’Université de Lorraine, de 21 personnels permanents est centrée sur le fonctionnement et l’évolution des sols au sein d’écosystèmes fortement modifiés par les activités humaines afin de proposer des voies d’optimisation de la gestion des sols. L’unité est regroupée autour de trois axes thématiques : dynamique des constituants Minéraux et Organiques d’origines Naturelle et Anthropique (MONA), Interactions fertilité/multi contamination et fonctionnement des Plantes et des Organismes (ISPO), Quantification et Optimisation de Services Écosystémiques (OSER). Le LSE porte la responsabilité de deux spécialisations à l’ENSAIA en Sciences et Génie de l’Environnement (SGE), et en Protection des Cultures (Protec). Le LSE est unité d’accueil au sein de l’École Doctorale « Sciences et Ingénierie des Ressources Naturelles », est intégré dans le pole OTELo et le LabEx R21 de l’Université de Lorraine, et est partenaire du GISFI (Groupement d’intérêt scientifique sur les friches industrielles). Au niveau international, le LSE a établi en 2015 un Laboratoire International Associé LIA Ecoland “Ecosystem services provided by contaminated lands” avec l’Université de Sun Yat Sen (Chine, Canton). Les chercheurs et enseignants chercheurs du LSE ont également participé à la création de 3 start-ups locales (Microhumus, Econick et Sol &co) en lien avec leurs thématiques de recherche.

 

Laboratoire Univers et Théories (LUTH), Paris

Logo LUTHLe Laboratoire Univers et Théories (LUTH) est une unité mixte de recherche du CNRS, de l’Observatoire de Paris – Paris Sciences Lettres, et de l’Université Paris Diderot. Le laboratoire regroupe environ 80 personnes dont 34 chercheurs permanents statutaires. Son activité de recherche concerne la théorie et la modélisation avancées des systèmes astrophysiques. Le LUTH met l’accent sur le calcul numérique intensif et la pluridisciplinarité, deux aspects de l’activité de recherche astrophysique déterminants aujourd’hui pour atteindre les objectifs de cette discipline. Les thématiques de recherches au laboratoire sont diverses. Elles vont de la cosmologie aux planètes extra-solaires, en passant par l’étude des trous noirs et objets compacts, des phénomènes de hautes énergies, des phénomènes hydrodynamiques et des plasmas présents au sein des objets astrophysiques.

 

Météo France

logo météo franceMétéo-France est le service météorologique et climatologique national. Sa mission première consiste à assurer la sécurité météorologique des personnes et des biens. Elle se traduit notamment par l’élaboration d’une carte de vigilance météorologique signalant les phénomènes dangereux, leurs conséquences et les précautions à prendre pour se protéger. Les missions de base de Météo-France comprennent : – le développement et la maintenance d’un réseau d’observation- la collecte et le traitement de données climatologiques- la prévision du temps- l’élaboration de projections climatiques- la recherche dans les domaines de la météorologie et du climat.Météo-France est au service de trois grands types de clients :- les services de l’État (sécurité des personnes et des biens) et la Défense- le secteur aéronautique- les professionnels de divers secteurs économiques (énergie, collectivités, BTP, etc.). Service de référence au plan international, Météo-France joue un rôle significatif au sein des principaux organismes de coopération météorologique : l’Organisation météorologique mondiale (OMM), le Centre européen pour les prévisions météorologiques à moyen terme (CEPMMT), Eumetsat, l’opérateur des satellites météorologiques européens, et Eumetnet. Établissement public à caractère administratif (EPA) depuis 1993, Météo-France est actuellement placé sous la tutelle du ministère de l’Environnement, de l’Énergie et de la Mer.

 

Météo et Climat


L’association Météo et Climat est une association de loi 1901, reconnue d’utilité publique. Elle a été fondée en 1852 sous le nom de Société Météorologique de France. L’association est  un lieu de communication, d’échanges et de débats sur l’évolution du climat. Elle développe de nombreuses actions de médiation scientifique vers différents publics : colloques, cycles de conférences, expositions, etc.

 

Museum national d’Histoire naturelle – Département Histoire de la Terre, Paris

logo_mnhnLe Département Histoire de la Terre du Museum national d’Histoire naturelle a pour objet l’étude de l’histoire de la vie en relation avec son cadre physique qu’est la Terre. Il retrace l’évolution de la biosphère intégrée dans le contexte de l’origine, la formation et l’évolution de la planète. Il aborde les thèmes suivants : (a) origine et formation de la Terre (et des planètes telluriques) ; (b) structuration de la Planète et mode de formation des premiers continents ; (c) histoire de la vie et interactions avec les modifications des environnements. Ces thématiques de recherche se fondent parfois sur les collections du MNHN. En revanche, d’autres études, systématiques, sont directement liées aux collections et conduisent à la connaissance des objets eux-mêmes (formation, liens de parenté). Elles ont un rôle d’inventaire de la géodiversité et de la paléobiodiversité. Plus généralement, le Département doit contribuer à la diffusion des connaissances scientifiques. L’origine de la Terre et de la Vie ainsi que de l’évolution de la Vie sur Terre font l’objet d’une forte demande de la part de la société. Des problématiques telles que l’origine du système solaire, les variations du climat, l’extinction des dinosaures ou l’origine de l’Homme sont des sujets éminemment médiatiques et fortement récurrents. Le Muséum se doit d’être en mesure de répondre à cette demande et de fournir une information scientifiquement irréprochable mais accessible au grand public.

 

Observatoire de la côte d’Azur

L’Observatoire de la Côte d’Azur compte environ 400 astrophysiciens et géophysiques et un bon nombre d’autres scientifiques nécessaires aux études astrophysiques et géophysiques, tels que les Dynamic Dynamics.

 

Rachel Carson Center for Environment and Society – LMU, Munich, Allemagne

rachel carlson centerLe Centre Rachel Carson pour l’Environnement et la Société (RCC) est un centre international et interdisciplinaire de recherche et d’enseignement en sciences humaines de l’environnement et en sciences sociales. Institution à but non lucratif, le RCC a été fondé en 2009 à l’initiative conjointe de la Ludwig-Maximilians-Universität de Munich et du Deutsches Museum, avec le généreux soutien du ministère fédéral allemand de l’Éducation et de la Recherche.

 

Saint-Gobain

Logo Saint GobainSaint-Gobain est une entreprise française spécialisée dans la production, la transformation et distribution de matériaux. Fondée en 1665 par Jean-Baptiste Colbert sous le nom de Manufacture royale des glaces, l’entreprise est présente dans 76 pays et emploie en 2021 près de 166 000 personnes.

 

Santé Publique France

Santé publique France est l’agence nationale de santé publique. Créée en mai 2016 par ordonnance et décret, c’est un établissement public administratif sous tutelle du ministère chargé de la Santé. Notre mission : améliorer et protéger la santé des populations. Cette mission s’articule autour de trois axes majeurs : anticiper, comprendre et agir. En relation avec les acteurs de terrain qu’elle contribue à animer et coordonner, l’agence produit une expertise scientifique en santé publique indépendante pour la protection et l’amélioration de la santé des populations sur laquelle elle fonde sa démarche de programmation, planifie ses interventions et arbitre ses moyens. Cette connaissance est mise à disposition des autorités compétentes pour éclairer les politiques de santé, préserver et promouvoir la santé. Agissant à la fois sur les déterminants et envers les populations, Santé publique France place la prise en compte des inégalités sociales de santé au cœur de sa démarche de travail.

Société Française pour l’Etude et la Protection des Mammifères (SFEPM)

La Société Française pour l’Etude et la Protection des Mammifères (SFEPM) a pour objectif la connaissance, la promotion et la protection des Mammifères et de leurs habitats sur tout le territoire national, métropole et DOM-COM. L’association (loi de 1901) a été créée en 1977. Sa première mission fut la réalisation du premier atlas des Mammifères sauvages de France (publié en 1984). La philosophie de l’association est la conservation des espèces de Mammifères sauvages et de leurs habitats, dans un monde en évolution où la cohabitation Homme-Mammifères est devenue inévitable. Elle développe son action autour de trois axes : connaissance, protection et conservation, et information et sensibilisation. La SFEPM est agréée au titre de la protection de la nature au niveau national et compte environ 500 adhérents directs et plus de 10 000 indirects au travers de plus d’une quarantaine d’associations adhérentes. Elle est membre de l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN) – France ainsi que de la Fédération Française des Sociétés de Sciences Naturelles (FFSSN). Enfin, le Conseil d’Administration et l’équipe salariée de la SFEPM regroupent des spécialistes des mammifères sauvages (amateurs ou professionnels) : scientifiques, naturalistes, vétérinaires, acteurs de l’étude et de la conservation de la faune, etc.

 

Sol & co

sol&coSol & co (www.sol-et-co.com) est un bureau d’études-conseil constitué d’une équipe d’experts scientifiques spécialisés en pédologie, biologie des sols et en urbanisme, qui accompagne les aménageurs du territoire dans l’étude, la préservation et l’optimisation des caractéristiques agronomiques (physiques, chimiques et biologiques) des sols à travers des diagnostics de leur qualité. Cette société est le fruit de réflexions scientifiques engagées par les 5 co-fondateurs au sein du Laboratoire Sols et Environnement (Université de Lorraine, Inra) et de l’Institut d’Urbanisme et d’Aménagement Régional (Aix-Marseille Université). Une des spécificités de Sol &co est d’être capable d’étudier l’ensemble de la biodiversité des sols (microbienne, faunistique et végétale), selon des méthodes issues de la recherche. Une majeure partie de l’activité de Sol &co consiste à formuler de l’aide à la décision auprès des acteurs de l’aménagement du territoire sur des sujets en lien avec les sols, leur biodiversité, la nature en ville, l’agriculture urbaine ou encore les pratiques de jardinage. Cette start-up nancéienne a reçu différentes distinctions comme le trophée de l’environnement Meurthe-et-Moselle (2019), le prix entrepreneurial pour la transition écologique de la ville de Nancy, les prix PEPITE régional et national (2019) ainsi que le 1er prix Chercheurs Entrepreneurs Challenges du Grand Est (2019).

UMR 7179 « Mécanismes Adaptatifs et Évolution », MNHN, Paris

Encyclopédie Environnement - UMR 7179 logoL’Unité Mixte de Recherche 7179 « Mécanismes Adaptatifs et Évolution » (CNRS/MNHN) est dirigée par Fabienne Aujard assistée d’une directrice adjointe, Anick Abourachid, responsable du site parisien de l’unité, et d’un directeur adjoint Pierre-Michel Forget.
L’UMR se compose de trois équipes de recherche BIOADAPT, ECOTROP et FUNEVOL et plusieurs plateaux techniques.
Les recherches de l’UMR 7179 « Mécanismes Adaptatifs et Évolution » s’inscrivent dans la biologie des systèmes intégrés et implique une approche fonctionnelle des mécanismes d’adaptation des organismes vivants aux contraintes environnementales. En s’appuyant sur les relations forme/fonction/milieu des espèces actuelles et fossiles, s’y ajoute une recherche de l’origine et de l’évolution du vivant. Les études sur les capacités d’adaptation et de résistance des organismes et des communautés aux changements environnementaux permettent d’identifier les mécanismes qui contribuent au maintien de la biodiversité, d’appréhender les risques de sa vulnérabilité et, au travers de la connaissance de sa dynamique, de définir des stratégies pour une gestion durable.
Enfin les recherches s’ouvrent sur des développements technologiques (robotique), sur des applications dans le domaine du biomédical (vieillissement, pathologies) et apportent des perspectives importantes pour une gestion durable de la biodiversité.

 

UMR METIS 7619 « Mécanismes Adaptatifs et Évolution », Paris

logo metisL’Unité Mixte de Recherche METIS (Milieux environnementaux, transferts et interactions dans les hydrosystèmes et les sols) a été créée en janvier 2014, comme fusion de l’UMR Sisyphe et d’une équipe spécialisée en géochimie organique issue de l’UMR BioEMCo. Installée au sein de l’Université Pierre et Marie Curie à Paris, elle intègre également des chercheurs, enseignants-chercheurs et techniciens du CNRS et de l’EPHE.
Notre unité s’intéresse principalement aux « Surfaces Continentales », à la circulation de l’eau, des éléments et des polluants dans des milieux qui peuvent être très impactés par l’homme mais qui sont aussi une ressource sensible et indispensable au développement de la société.

 

UMR PVBMT (Unité Mixte de Recherche Peuplements Végétaux et Bioagresseurs en Milieu Tropical), Saint-Pierre, La Réunion

L’UMR PVBMT (Unité Mixte de Recherche Peuplements Végétaux et Bioagresseurs en Milieu Tropical) est une structure de l’Université de La Réunion. Elle est localisée au Pôle de protection des plantes (3P) à Saint-Pierre. Elle est organisée en trois équipes thématiques en milieu tropical : (1) la génomique et l’épidémiologie des agents pathogènes ; (2) la diversité et l’utilisation des ressources génétiques ; (3) les dynamiques écologiques en milieu insulaire. Dans cette dernière équipe, nous sommes un petit groupe de chercheurs à travailler sur les écosystèmes forestiers indigènes, avec comme principaux axes : les invasions biologiques, la diversité le long des gradients environnementaux, les interactions mutualistes plantes-animaux et le rôle des bryophytes dans les écosystèmes. Les enjeux de conservation étant considérables, nos recherches sont en lien étroit avec les acteurs de la conservation, notamment le Parc national de La Réunion.

 

Unité Mixte Internationale « Environnement, Santé, Sociétés », Mali, Sénégal, Burkina Faso, France

L’Unité Mixte Internationale « Environnement, Santé, Sociétés » est le premier laboratoire de recherche international mis en place par le CNRS en Afrique de l’Ouest pour développer des activités de recherche et de formation à la recherche N-S et S-S associant la France et 3 pays ouest africains (Sénégal, Mali, Burkina Faso). Le laboratoire a cinq tutelles (Université Cheik Anta Diop de Dakar et Université Gaston Berger de Saint-Louis au Sénégal, Université Scientifique, Technique et Technologique de Bamako au Mali, Centre National de la recherche Scientifique et Technique du Burkina Faso, Centre National de la Recherche Scientifique France). L’unité développe des recherches interdisciplinaires associant quatre groupes de disciplines (biologie humaine et santé, sciences de l’environnement, sciences humaines et sociales et sciences exactes) sur des questions centrales en Afrique de l’Ouest : i) l’émergence des maladies non transmissibles (diabète, hypertension artérielle) en lien avec la sédentarisation des populations, ii) les pathologies de la pollution de l’air et de l’eau, iii) les maladies liées à l’eau tels le paludisme et les schistosomoses, iv) et les impacts socio-environnementaux de la mise en place de la Grande Muraille Verte dans un contexte de désertification marquée de la zone sahélienne.

 

Université de Bretagne occidentale (UBO), Brest

UBO - Université de Bretagne OccidentaleFondamentalement pluridisciplinaire, l’Université de Bretagne occidentale (UBO) a une trentaine d’unités de recherche, dont la moitié sont affiliées à un établissement public à caractère scientifique et technologique (CNRS, INSERM, IRD) et/ou un établissement public à caractère industriel (Ifremer) et dont certaines sont associées à un hôpital universitaire. L’organisation en quatre axes de recherche : Mer, Sciences de l’Homme et de la Société, Numérique/Mathématiques, Santé/Agro-matière, auxquels sont associés quatre instituts de recherche, favorise les échanges interdisciplinaires et l’émergence de projets de recherche innovants. Résolument tournée vers l’innovation et la valorisation, la recherche à l’UBO porte sur des thématiques en prise avec les problématiques de la société moderne, telles que la santé ou encore le développement durable.

 

Université Catholique de Louvain, Belgique

Le pôle Earth and Climate (ELIC) du Earth and Life Institute (ELI) de l’Université catholique de Louvain est spécialisé dans l’étude le Terre et en particulier de son climat. Il regroupe actuellement 14 professeurs et 80 chercheurs. Au cours des années, Il a produit des études sur le climat axées sur les derniers cycles glaciaires et interglaciaires, la variabilité climatique et les changements survenus pendant l’Holocène (y compris le dernier millénaire et le refroidissement brutal qui a eu lieu il y a 8200 ans), la variabilité climatique interannuelle au cours des dernières décennies et les changements climatiques futurs. Les activités de recherche actuelles sur le climat comprennent (1) les changements climatiques passés, (2) l’état actuel du système terrestre, (3) les interactions homme-environnement et (4) les outils de modélisation.

 

Unité de Production Hydraulique Alpes

logo edfL’Unité de Production Hydraulique Alpes a en charge l’exploitation et la maintenance des installations hydro électriques d’EDF (Electricité de France) dans les Alpes du Nord (départements de la Haute Savoie, Savoie, Isère, Drôme) soit 130 usines et 7500 MW de puissance installée,  le tiers du parc hydro électrique d’EDF en Métropole.

 

 

Université de Nice Sophia Antipolis

L’Université de Nice – Sophia-Antipolis est une Université pluridisciplinaire au sein de laquelle s’est développé le Laboratoire de Biologie Végétale dirigé par le Professeur Jean Rigaud, sur le campus de Valrose à Nice. Ayant reçu le soutien du CNRS dès 1982 et bénéficiant de l’usage d’une serre et d’une chambre de culture, le laboratoire s’est consacré à l’étude du fonctionnement de la symbiose Légumineuses – Rhizobium en utilisant principalement le soja et le haricot (énergétique nodulaire, échanges de métabolites entre les partenaires symbiotiques, rôle d’une hémoprotéine végétale, la léghémoglobine…). Il s’est ensuite tourné vers la luzerne et la plante modèle Medicago truncatula pour laquelle de nombreux outils moléculaires étaient disponibles. Le laboratoire a activement participé à la création, en 2004, de l’Unité Mixte de Recherches INRA – CNRS – Université de Nice-Sophia Antipolis « Interactions Biotiques et Santé Végétale » qui l’a vu fusionner avec le Centre de Recherches INRA d’Antibes. Cette UMR, située à Sophia-Antipolis et désormais intitulée « Sophia Agrobiotech », étudie en particulier les interactions biotiques des végétaux, tant au niveau foliaire que racinaire (nématodes, champignons, insectes…) et bénéficie d’une très bonne visibilité internationale.

 

INSERM Unité Inflammation, Chimiokines & Immunopathologie, Paris-Saclay

logo insermL’unité INSERM U996 intitulée :Inflammation, Chimiokines&Immunopathologie regroupe 3 équipes dont les thématiques visent à comprendre les dérégulations inflammatoires et/ou immunitaires dans différentes pathologies dont l’asthme allergique, les infections à papillomavirus, le lupus érythémateux ou dans notre cas les maladies inflammatoires du foie. Cette unité est rattachée à l’Université Paris-Sud et au campus de l’Université Paris-Saclay. Cette unité appartient au Laboratoire d’excellence en recherche sur le médicament et l’innovation thérapeutique (Labex-LERMIT). L’équipe appartient également au Département Hospitalo-Universitaire (DHU) de l’Assistance Publique – Hôpitaux de Paris.

 

Université de Genève, Suisse

logo université GeneveL’Université de Genève a été fondée en 1559 et se place depuis de nombreuses années parmi les 100 meilleures universités du monde. L’Institut des Sciences de l’Environnement (ISE) est une nouvelle entité inter-facultaire créée en 2009 pour aborder de manière pluridisciplinaire les questions complexes de l’environnement. Cinq faculté de l’Université sont concernées par l’ISE, à savoir les Sciences, les Sciences de la Société, l’Economie et le Management, le Droit, et la Médecine. Les missions principales de l’ISE sont la recherche et l’enseignement dans les diverses branches interconnectées des sciences de l’environnement. Cinq domaines prioritaires regroupent plus d’une centaine de chercheurs de tous horizons, à savoir : le climat et les impacts climatiques ; les sciences de l’eau ; la biodiversité ; l’énergie et l’efficience énergétique ; et enfin le développement durable, l’urbanisme, et la gouvernance environnementale. L’une des forces principales de l’ISE réside dans le dialogue permanent entre disciplines fondamentales afin de trouver des solutions à des problématiques complexes qu’une seule discipline ne pourrait résoudre. Bien que l’ISE soit un institut relativement jeune, il a réussi à se profiler sur le plan international, notamment par la coordination de deux grands projets européens du 7e Programme-cadre de l’UE et sa participation à de nombreux autres projets du 7e programme-cadre ainsi que du programme Horizon-2020, et ses partenariats avec des universités telles que UCLA, l’Université du Québec à Montréal, l’Université de Sydney, et la National University of Singapore, entre autres. Bénéficiant d’une situation privilégiée à Genève, deuxième siège des organisations internationales après New York, l’ISE a des collaborations suivies en particulier avec l’UNEP (United Nations Environment Programme), l’OMM (Organisation Météorologique Mondiale) et l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé).

 

Université de Lausanne, suisse

La Faculté de droit, des sciences criminelles et d’administration publique de l’Université de Lausanne présente la particularité unique en Suisse de réunir des domaines d’étude et de recherche aussi variés que le droit, la forensique, la criminologie et l’administration publique. Le Centre de droit comparé, européen et international (CDCEI) constitue le prolongement de l’enseignement de droit européen, de droit international privé et public, de droit comparé ainsi que des droits allemand, français, américain. Il représente un lieu de recherche et de documentation pour les doctorants, juristes et toute personne intéressée. La collection Comparativa – qui compte 80 volumes – traduit l’effort de recherche comparative conduit sous ses auspices. Le CDCEI héberge le MAS (LL.M.) in International and European Economic and Commercial Law (MAS en droit international et européen de l’économie et du commerce).

 

Université de Lorraine

L’Université de Lorraine est issue de la fusion en 2012 des deux universités nancéiennes, de l’INPL et de l’université de Metz. Elle rassemble 60.000 étudiants et près de 4000 enseignants-chercheurs. La recherche de l’université de Lorraine s’organise autour de dix pôles scientifiques regroupant soixante laboratoires parfois intégrés au sein de fédérations de recherche. La thématique « contraintes environnementales et physiologie de l’arbre » se trouve ainsi représentée au sein du projet fédératif Labex ARBRE (recherches avancées sur la biologie de l’arbre et les écosystèmes forestiers), créé en 2012, et qui fait appel à des disciplines aussi variées que la biologie, l’écologie, les sciences de l’ingénieur ou l’économie forestière. Porté par l’Université de Lorraine, géré par l’INRAe et associant AgroParisTech, le Labex ARBRE implique aussi  l’Office National des Forêts, le Centre National de la Propriété Forestière, le Centre Régional d’Innovation et de Transfert de Technologies du Bois et l’European Forest Institute. Son but est d’étudier le fonctionnement des écosystèmes forestiers et leur préservation dans un contexte de changement global et d’aider à une meilleure valorisation des forêts. Il regroupe une communauté scientifique d’environ 300 personnes réparties dans plusieurs laboratoires dont l’UMR SILVA Université de Lorraine-AgroParisTech-INRAe.

 

Université de Montpellier – UMR DIADE

L’Université de Montpellier rassemble 17 structures d’enseignement, dont 7 facultés de sciences et techniques, et est fréquentée par près de 50 000 étudiants chaque année. Elle participe à l’activité de 73 structures de recherche. Parmi celles-ci, l’UMR DIADE (Diversité Adaptation et Développement des plantes ; IRD, Université de Montpellier, CIRAD) étudie la biodiversité végétale, les mécanismes d’adaptation des plantes et de leurs interactions avec l’environnement, et explore le développement des plantes pour mieux comprendre l’expression des caractères et leur fonctionnement. L’étude de l’agrobiodiversité permet de caractériser l’exceptionnelle diversité végétale des pays du Sud avec pour objectifs sa préservation mais aussi sa valorisation par les sociétés locales et les systèmes économiques. Les recherches sur les mécanismes d’adaptation des plantes et de leurs interactions avec l’environnement contribuent à des objectifs de sécurité alimentaire pour produire plus et « mieux » dans un contexte de changements globaux. L’objectif final est d’aboutir à une meilleure durabilité des productions végétales, et de répondre aux attentes de la transition agroécologie.

 

Université de Reims Champagne-Ardenne

L’Université de Reims Champagne-Ardenne développe un projet scientifique autour de 4 grands pôles à forte expertise scientifique. Un pôle pluridisciplinaire à dimension internationale en agro-sciences, environnement, biotechnologies et bio-économie prenant en compte, dans un territoire à forte économie agricole et viticole, l’agriculture du futur ; un pôle Santé, porteur de niches scientifiques d’excellence et d’une offre de formation médicale et paramédicale riche et variée ; un pôle Sciences du numérique et de l’ingénieur autour du calcul haute performance, de l’industrie 4.0, des matériaux et des transformations technologiques ; et un pôle Sciences de l’Homme et de la société avec notamment l’essor d’un nouvel axe autour des arts du spectacle fédéré par la création d’une Maison des Sciences Humaines. Elle propose une offre de formation pluridisciplinaire attractive qui répond aux besoins socio-économiques actuels et futurs, et vise à amener l’étudiant au meilleur niveau de formation. L’université de Reims Champagne-Ardenne en chiffres : 28 500 étudiants, 2500 personnels, 30 laboratoires de recherche, 14 composantes, plus de 120 diplômes.

 

Universita di Roma, Italie

L’Université de Rome « Tor Vergata », l’une des trois universités de Rome, située au sud-est de la ville. L’Université compte 13 départements. Les recherches du département de physique comprennent l’astrophysique, la physique appliquée, la physique théorique, la physique des hautes énergies et la matière condensée.

 

 

Université technique de Munich, Allemagne

Créée en 1868, l’Université Technique de Munich (TUM) est une des meilleures universités d’Europe. L’université se veut à la pointe de l’innovation et a pour vocation de trouver des solutions aux principaux défis auxquels la société est confrontée au cours du temps. L’université est un grand centre européen pour la recherche et l’enseignement, l’éducation interdisciplinaire et la promotion active de jeunes scientifiques prometteurs. Face aux pertes en biodiversités et à la dégradation des services écosystémiques, les travaux de recherche menés à la chaire d’écologie de la restauration ont pour objectifs de trouver de nouvelles méthodes en biologie de la conservation et en restauration écologique. Les principaux domaines de recherche sont la restauration des zones humides, le matériel végétal utilisé pour la restauration, les invasions biologiques et les changements globaux. Les enseignements dispensés se focalisent la compréhension du fonctionnement des communautés végétales et des processus écosystémiques qui peuvent être utilisés pour la planification et la gestion de l’environnement et la conservation de la nature.